L'université : de la soumission à la consécration (11)
Datte: 07/10/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... s’il te plaît, gémit-elle. — Non, je vais prendre mon pied sans penser une seconde à ce que tu peux bien ressentir. Je vais te massacrer tes petites fesses, alors je te conseille de mordre les coussins, ça t’aidera. Une vague de terreur passe sur son visage, mais elle s’exécute docilement. La vision de ma copine, la tête posée sur l’oreiller et le cul pointé vers le ciel, mon pénis planté dedans, est magnifique, merveilleuse. Elle est à moi, totalement à moi. Je peux en faire ce que je veux. Comme pour me confirmer à moi-même la réalité de cette pensée, je lui assène une bonne claque sur les fesses. Elle tressaille, lâche un léger gémissement de surprise, mais ne dit rien. — Tu es à moi, hein ? — Je suis toute à toi mon cœur. Je t’aime. Cet aveu me trouble, Camille n’étant pas une grande sentimentale. — Je t’aime aussi. A peine l’ai-je lâché que je m’enfonce déjà en elle d’un grand coup de rein. Elle se redresse légèrement, inconsciemment, la bouche grande ouverte sous le coup de la surprise et de la douleur. Je ne lui laisse pas le temps de se remettre, je la lime déjà à grands coups de bite. Comme promis, je ne prends pas de gants et ne me soucie pas de ce qu’elle peut bien ressentir. Je me contente de la tringler comme il me plaît, réglant mon rythme sur mon seul désir. Elle ne tarde pas à crier de douleur au milieu des sanglots, mais ça ne m’arrête pas, bien au contraire. J’ai beau avoir globalement pardonné à Camille, ce n’est pas cher payé pour ce qu’elle m’a fait ...
... subir. Et après tout elle est consentante, c’est tout ce qui importante. Je lui défonce maintenant son petit postérieur à toute allure. Chacun de mes coups de rein lui arrache un nouveau cri, et elle tente bientôt d’échapper à mon étreinte, sans doute un peu inconsciemment, par réflexe. Je ne lui laisse pourtant pas le choix, je m’avance à chaque fois qu’elle s’éloigne, poursuivant mon œuvre de massacre. Si elle souhaite réellement arrêter, nous savons tous les deux qu’il lui suffit de me le dire. Mais elle ne le fera pas. Elle a trop envie de me plaire, et trop à se faire pardonner. A force de fuir ainsi ma fureur vengeresse, elle se retrouve bientôt sur les genoux, le torse plaqué contre le mur blanc et froid. Dans cette position, la pénétration sans cesse renouvelée de mon chibre dans ses entrailles doit n’être que plus douloureuse, mais l’étroitesse que cela donne à ses fesses contribue aussi à me faire venir plus vite. Je lui plaque bientôt le visage contre le mur tout en la baisant avec hargne. Lorsque mon orgasme arrive, immense, je hurle littéralement ma jouissance : — Oh putain Camille c’est merveilleux ! Quel fion étroit, j’adore te défoncer sale pute ! Vous l’aurez sans doute remarqué, j’aime oublier la tendresse dans ces moments-là… sauf sans doute avec Charlotte, mais je ne peux pas vraiment le savoir. Pas encore. Quand je me répands dans ses entrailles, c’est elle qui hurle : — Ça brûle ! crie-t-elle en essayant de se dérober à la fontaine de foutre qui lui remplit ...