LE VOISIN 8
Datte: 08/10/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... devant une petite porte dérobée à peine visible de la rue. - Toc…toc…toc… La porte s’est entrouverte sur un couloir dont l’éclairage était tamisé, un homme assez imposant nous a demandé si nous avions réservé avant de nous laissé aller plus loin. Il nous a regardé entrer, posé son regard sur les fesses de ma femme et en me regardant il me dit. - Elle à un beau cul… c’est ta femme ? - Heu….oui… Il était donc de mèche avec mon cocufieur, il connaissait donc mes gouts pour cette humiliation délicate et perverse, mais là, j’éprouvais même une certaine fierté à pouvoir exhiber ma jolie femme dans un endroit aussi glauque. Le couloir était assez long, débouchant sur une assez grande salle de restaurant, elle n’en était pas moins sombre, seuls des luminaires placés sur les tables éclairaient les lieux. Nos yeux se sont assez vite habitués à cette lumière très tamisé, cela donnait à cet endroit une atmosphère très sensuelle, presque érotique, lumière chaude pour une soirée encore plus chaude. Nous étions parmi les premiers clients, seules deux autres tables étaient déjà occupées, curieusement chacune d’elles l’étaient aussi par une femme et deux hommes. J’ai trouvé cela curieux, était ce le fruit du hasard qu’il s’agisse aussi de trios ou était ce volontaire, de toutes façons je n’allais pas tarder à le savoir. L’homme qui nous avait accueillit nous a mené jusqu'au centre de la pièce, là où une table légèrement plus grande que les autres semblait nous attendre, il s’est tourné vers ...
... moi et ma indiqué la chaise qui trônait seule face aux deux autres. Puis il a fait s’asseoir ma femme face à moi avec son amant à ses coté, mis sur le fait accompli là encore on ne me demandait pas mon avis, humiliant à souhait la soirée s’annonçait jouissive. Mon cocufieur s’est penché pour dire quelques chose à l’oreille de sa soumise, puis il s’est redressé en me souriant. Ma femme s’est levée, elle a remonté sa jupe montrant ses fesses dénudée, puis elle s’est rassise cul nu sur le siège encore froid Elle aussi m’a regardé souriante et je l’ai vu dégrafer entièrement son chemisier laissant découvrir la totalité de son soutien gorge, contraste émouvant avec sa peau laiteuse. La vision de ma femme montrant tout et presque rien, c’était érotique sans être vulgaire, les lumières tamisés y étaient surement pour quelque chose, créant un écrin de douceur autour de cette véritable beauté. Mais le tableau n’était pas encore fini, je l’ai vu glissé ses bras vers l’arrière, juste dans son dos pour dégrafer le peu de tissu qui cachait encore sa belle poitrine. La dentelle à glissé lentement, dévoilant les deux masses laiteuses aux auréoles brunâtres, surmontés de tétons déjà durcis par le plaisir naissant Ainsi offerte, elle était plus que belle, l’ouverture du chemisier encore présent sur ses épaules ne pouvait que mettre en valeur ses deux magnifique nichons. Mes relents de jalousie m’on fait regardé autour de nous, cherchant le regard des hommes sur ma femme offerte, ils étaient ...