1. La gosse d'Irish qui ne manquait pas d'Éire


    Datte: 08/10/2019, Catégories: h, fh, grp, vacances, hotel, pastiche,

    ... offensive et disparition quasi-intégrale du sucre d’orge au fond de la gorge de Kelly. Incontestablement céleste, elle aussi ; je suis au paradis. Il me faut quelques secondes pour reconnecter le cerveau. Elle a vu ça, la petite vicieuse à côté ? Elle serait capable d’en faire autant ? Mais ma parole, elle est en train de se caresser la corolle ! Elle se souille les mains, la coquine ! J’oscille entre extase physique et branlette cérébrale. La pipe est parfaite, la voyeuse excitante à souhait. Je pourrais mourir maintenant. Si la mort – la petite – veut bien se donner la peine, je suis son homme. xXx Depuis que Ciara a branché le lampion, la situation part doucement en vrille. Pour commencer, les derniers ronfleurs de la carrée se réveillent. Avec la lumière dans la tronche et les commentaires salés de la tignasse, c’était fatal. Deux poilus sortent des plumes sans un mot et descendent leur matelas par terre, au milieu de la pièce. Sans doute habituée à la manœuvre, Ciara se glisse hors de son lit et les imite. La banane déjà aux lèvres, elle s’agenouille entre les types, les aide à se dessaper et s’efforce de leur donner de la prestance. Kelly m’entraîne à leurs côtés. Un peu couillon, je la suis. Mais lorsqu’elle s’agenouille face à sa copine, je la bouscule, elle et ses plans, et la prend par derrière. Je la baise avec toute la bestialité réprimée ces derniers jours. Violemment. Laissant faire, la rouquine aime ça, je crois. Après avoir joui en égoïste, ma mauvaise ...
    ... conscience finit par me rattraper. D’autant plus que Kelly, en bonne Samaritaine, se consacre à présent entièrement au plaisir de Ciara. Je donne alors un coup de main à ma rouquine préférée, et un coup de langue à la tignasse. Nous sommes bientôt assistés par les deux autres lascars, dont la cote en bourse n’a pas chuté. Les marques de tendresse deviennent plus intrusives. Les pelotages moins subtils. La pauvre Ciara n’a aucune chance. Nous sommes quatre acharnés sur elle pour qu’elle côtoie les anges. Et tout est bon pour arriver à nos fins. Aucune zone sensible ne nous échappe. Aucun orifice ne reste inexploré. Ses cris, lorsqu’elle peut crier, n’entament en rien notre détermination. Elle est impitoyablement retournée, léchée, effeuillée, écartelée, empalée, caressée, ventousée, mordue, doigtée, suspendue, arrosée, fessée. Dans le désordre et la bonne humeur. C’est un festival de cascades. Une première pour moi. La jouissance de Ciara est magistrale. Un feu d’artifice de convulsions, soubresauts et déchirement vocaux qui me laisse sur le cul. xXx La pause qui suit est de courte durée. J’ai à peine le temps de faire la connaissance de Moritz et Matthias, mes inopinés co-pineurs germaniques. Les hostilités reprennent alors que j’essaie de leur préciser deux-trois points de détail, quant à mon orientation sexuelle. Avant l’entracte, je n’ai pas clairement identifié une main baladeuse. Faudrait voir à éviter les tripotages intempestifs : je leur explique gentiment. Mais Ciara abrège ...