1. Le secret d'Anna (1)


    Datte: 08/10/2019, Catégories: fh, fplusag, jeunes, jardin, caférestau, amour, volupté, Masturbation Oral pénétratio, champagne, mélo,

    ... son cou : — Alors Anna, c’est un vrai séisme.— Et vous ?— Je suis encore vivant, mais ce n’est pas de votre faute.— Pourquoi ?— Si je n’avais pas de chemise, mon dos serait en sang.— Oh, pardon, Alain…— Et il s’en est fallu de peu que je perde dans ce combat épique un bout de ma langue et un morceau de mes lèvres. Vous êtes une vivace.— Alain, je suis tellement désolée. Je ne sais pas ce qui m’est arrivé. Tout est venu si vite. Voyant le trouble d’Anna, Alain décide d’enfoncer un peu plus le clou en prenant un air encore plus sérieux : — Rassurez-vous, ce n’est pas grave, je prendrai mes précautions la prochaine fois.— Des précautions, et comment ?— En vous attachant solidement sur un lit.— Je ne le ferai plus, Alain, je vous le promets.— Mais ma belle Anna, quand je parle, il ne faut pas tout prendre au sérieux. Je ne faisais que plaisanter.— Et… et votre plaisir ?— Rien Anna, une fois de plus, il est passé à l’as.— Je ne sais plus quoi dire.— Anna, il n’y a rien à dire, il y a seulement beaucoup à faire. Le score est de deux à zéro.— Je suis la zéro, je vous griffe et je vous mords au lieu de vous donner du plaisir… Je suis vraiment une mauvaise amante. Anna n’est pas très loin des larmes. Alain décide d’arrêter immédiatement de parler avec son ton ironique qui déstabilise trop sa « mauvaise amante » et qui, pourtant, est plus belle que jamais. Anna se lève. Alain en fait autant en retenant son pantalon. Il jette un petit coup d’œil circulaire à l’horizon, et personne ...
    ... n’étant en vue, demande à Anna en français sur un ton particulièrement coquin : — Allonge-toi sur le banc.— Comment ?— Sur le dos— Pourquoi faire ?— Devine, femme déchaînée. Pour Alain le spectacle est irréel, Anna s’allonge sur le banc, la robe relevée et les jambes pendantes de chaque côté. Cette vision lui redonne presque instantanément toutes ses forces. Au moment de s’allonger sur Anna, il rejette un petit coup d’œil pour s’assurer une dernière fois que personne n’arrive. Il peut à cet instant reprendre son travail d’amant violemment interrompu quelques minutes auparavant. Tout le corps d’Anna participe à la montée du plaisir d’Alain. Elle croise ses jambes derrière son amant pour s’assurer qu’il reste au plus profond d’elle-même, au plus profond de son corps de femme. Anna passe ensuite sa main sous la chemise d’Alain et caresse délicatement le dos qu’elle a endolori dans sa fougue. C’est avec son corps entièrement prisonnier du corps d’Anna, sous un flot de baisers dans son cou, et en écoutant le clapotis des vaguelettes de l’étang qu’Alain peut enfin délivrer son plaisir au plus profond de l’intimité de sa si surprenante geôlière : — Je crois que mon amante hollandaise n’est pas si mauvaise que cela.— Alain, tu es un amour. Anna ne parvient pas à cacher son bonheur. Elle vient de donner du plaisir à ce garçon qui la désirait tant : pour elle, pour son corps, parce qu’elle est femme, mais pas par intérêt. Elle regarde Alain dans les yeux, puis l’embrasse sur les épaules, ...