1. brother'n sister (5)


    Datte: 08/10/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... que tout, il semblait blessé que je ne le crusse pas. Je ne pus me résoudre à lui en vouloir plus longtemps et, envoûtée par son charme masculin, je décidai de le croire. -C’est bon, je te crois, lui dis-je dans un murmure. Il fut immédiatement rassuré et sourit pour la première fois de la matinée. Son bonheur fut si intense que, dans un excès de zèle, il m’embrassa. Si je fus surprise, je n’en laissai rien paraître et lui rendis son baiser qui, autant l’avouer, me fit un bien fou. Je tournai généreusement malangue dans sa bouche jusqu’à ce qu’il reculât son visage et interrompit la danse de nos deux organes linguaux. -Bon, c’est pas tout ça, mais il va falloir sortir si on ne veut pas rater le car, sourit-il. Promis, nous reprendrons ce soir. Je me rappelai alors que nous avions cours aujourd’hui. Comme quoi, je devenais vraiment folle lorsque je me trouvais avec lui. Je sortis de la cabine de douche, Antoine à mes talons, et me séchai rapidement à l’aide d’une serviette. Je terminai ma toilette avant de m’habiller et de sortir de la maison, mon frère à côté de moi. Nous marchâmes séparé l’un de l’autre vers l’arrêt de car afin que personne ne pût se douter que mon frère et moi entretenions cette relation incestueuse. Nous dûmes courir pour monter à bord de notre moyen de ...
    ... transport, mais nous l’avions bien eu. La journée s’écoula rapidement et, après mon cours de philosophie, je décidai de rentrer chez moi. Toutefois, lorsque je sortis du lycée, je vis un attroupement d’une bonne centaine de lycéens autour du gymnase, là où, la veille, mon frère et moi-même nous étions amusés. Je fus alors prise de panique : restait-il une trace du liquide séminal de mon frère sur le sol ? Ou bien était-ce une trace de mon liquide séminal ? Serait-il possible que ce fût ma culotte ? Non, pensais-je, c’était impossible, nous avions tout vérifier, nous n’avions laissé aucune trace. La curiosité m’envahit enfin et je me décidai à aller voir ce qui se passait. Lorsque je rejoignis le groupe, je m’avançai entre les lycéens en me frayant un chemin parmi ces corps agités par je ne savais quelle raison. Lorsque j’eus terminé de traverser cette forêt humaine, je jetai un œil sur un sac poubelle ouvert posé devant la benne à ordure du gymnase. Impossible de retenir ma surprise et mon dégoût, je vomis par terre. Le simple fait que personne ne semblât se préoccuper de ma réaction me laissa supposer que je n’eusse pas été la seule à m’être libérée les intestins devant cette vision d’horreur : William Beauregard n’avait pas été enlevé : il avait été assassiné et jeté dans se sac poubelle. 
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