-
DCT, l'agence qui met en scène vos fantasmes (1)
Datte: 09/10/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme
... différente de ceux de l’actrice, la fille ressemblait tête coupée à l’américaine. De plus elle était professeur d’éducation physique et sa plastique bien entretenue collait parfaitement au physique de Robin Wright. Seule ombre au tableau, elle n’avait bien entendu jamais été actrice et donc a fortiori n’avait pas tourné de pornos. La négociation fut assez longue. La promesse d’une somme plus que coquette et de la non distribution de l’œuvre emportèrent la décision. Restait à trouver des nains. Clarisse contacta directement des producteurs asiatiques. Elle reçut plusieurs propositions et put finalement choisir quatre types dans le lot, tous professionnels et japonais. Problème, il fallait les faire venir en Europe. Le coût du voyage et de leur hébergement, leurs cachets plus la location d’un studio, la création de décors et le défraiement de DCT représentaient un coût astronomique. Clarisse revint vers son client japonais qui accepta le contrat sans broncher. Le tournage pouvait commencer. Il fallut un mois pour réunir tout ce petit monde. L’Allemande devant poser une semaine de congés auprès de son institution, cela retarda encore la production d’une semaine. Clarisse en parfaite régisseuse mit ce temps à profit pour caler toutes les questions techniques et pratiques. Trouver du mobilier identique à celui du bureau du président américain ne fut pas une mince affaire. Deux jours avant la date prévue Clarisse envoya son assitant chercher les nains à Roissy, qui arrivaient du ...
... japon par le même vol. Il n’y avait pas besoin de les briefer outre mesure donc Clarisse les laissa découvrir Paris à leur guise. Rendez vous le jour du tournage où un taxi viendrait les chercher à leur hôtel. Il restait juste à vérifier leurs mensurations pour la location des costumes. La productrice se chargea donc de récupérer Birgit Schönhauser à sa descente de l’avion de Hambourg. Les photos n’avaient pas menti, la ressemblance avec l’actrice était frappante. L’allemande paraissait assez intimidée. Comme elle parlait anglais, elles purent échanger et cela la détendit. Clarisse la conduisit à l’hôtel, puis la récupéra un peu plus tard pour un lunch rapide, ensuite direction le coiffeur. Le type, aidé d’une photo de Robin Wright, fit des merveilles. Coupe et couleur à l’identique. Elle amena ensuite Birgit chez une esthéticienne qui la rasa intégralement. L’Allemande, divorcée, expliqua à Clarisse qu’elle avait un nouvel ami et qu’elle lui avait expliqué qu’elle se rendait en France avec des collègues pour préparer un futur voyage scolaire. Cela la gênait de devoir au retour présenter à sonamant un sexe dépourvu de toute pilosité. Clarisse lui répondit que Paris était réputée comme la ville du charme et de la mode. Elle n’aurait qu’à expliquer à son compagnon qu’elle avait changé son apparence pour lui faire une surprise. L’argument sembla la satisfaire. Clarisse la trouvait très godiche, empruntée, se posant des questions là où il n’y en avait pas vraiment. Heureusement que ...