-
Le Ruisseau
Datte: 09/10/2019, Catégories: 2couples, couple, cocus, danser, amour, pénétratio, fdanus, hdanus, échange, jeu, entrecoup,
... plis intimes. C’est le seul moyen de ne pas avoir de rougeurs. Pour un homme la douche suffit, pas pour une femme.— Je n’ai qu’une douche, me dit-elle. Bien sûr je saute sur l’occasion que j’ai créée. Utiliser ma salle de bain pour ce soin intime, c’est une étape de plus dans la complicité. — Faites-le ici. Elle hésite à peine. — Je ne voudrais pas vous déranger. On se connaît à peine. Que va penser votre mari ?— Vous ne me dérangez pas du tout. Pour Pascal ne vous inquiétez pas. Il va tenir compagnie à Cédric.— Mais qu’est-ce que je vais dire à Cédric ?— Mais la vérité. J’imagine qu’il sera heureux, comme beaucoup d’hommes, de vous découvrir libérée de ces poils. Et croyez mon expérience, enlever ce duvet fait plus pour la sexualité que beaucoup de choses. Je l’entraîne dans notre salle de bain. Je lui sors des serviettes et juste avant de fermer la porte derrière moi, je dis : — Je vais prévenir les hommes pour qu’ils s’installent dans le jardin. Je ferme la porte. Mais je l’ouvre à nouveau pour dire : — N’oubliez pas l’anus. Cédric est heureux de notre nouvelle complicité. En effet, tout se déroule parfaitement et mes craintes d’être une perverse qui cherche à faire basculer une autre dans son délire, s’éloignent. Marie est une belle femme. Une femme naturelle, alors que je craignais me retrouver devant une "Parisienne" que le métier aurait rendue superficielle. Au lieu de cela, sans ses enfants qui manifestement compliquent la relation du couple, elle est très sympa. ...
... J’aime sa pudeur. J’aime se retenue. Cédric m’avait décrit une femme insaisissable, oscillant entre audace et vertu. C’est vrai. Je me retrouve en elle avant que mon mari ne me fasse découvrir les joies et plaisirs que la sexualité assumée apporte. Je suis plus jeune qu’elle mais d’une certaine façon, à part la maternité, je me sens plus mûre. Peut-être plus vicieuse et perverse. Dans ma bouche ces adjectifs ne sont pas dégradants mais au contraire des qualités en amour. J’abandonne les hommes à leurs fantasmes devant un verre de Pineau des Charentes et retourne vers la salle de bain. La porte n’est pas fermée à clé et je retrouve Marie en admiration devant la glace. Mieux, elle s’est emparée d’un miroir à main et regarde son minou en reflet. J’apprécie qu’elle ne crie pas au scandale alors que j’entre sans rien dire. — Je n’arrive pas à voir si j’ai réussi à les enlever partout. Cela ne vous ennuie pas de vérifier ? Le minou est ok, mais je ne vois pas ma raie et l’anus. J’aime cette liberté. Elle se sent en confiance. Je lui demande de se pencher un peu en s’appuyant contre le lavabo. Elle s’exécute sans pudeur mal placée. — Je n’arrive pas à bien voir. Cela vous ennuie de vous écarter ? Demande particulièrement perverse, j’en conviens. Bien sûr que je vois parfaitement. Mais c’est le geste et la confiance qui comptent. Elle ne répond pas mais j’ai le plaisir de voir ses mains venir écarter ses fesses. La tentation est grande. Je me retiens de ne pas plonger pour aller lécher ...