1. Confession


    Datte: 10/10/2019, Catégories: f, fh, ff, fff, grp, jeunes, Inceste / Tabou vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral 69, fdanus, Lesbienne

    ... caressait nos cuisses à l’unisson, doucement, machinalement. Je me posai des questions sur son parcours qui l’avait amenée à une telle assurance. — Il y a longtemps que tu es aussi libérée et que tu… Euh… Elle me regarda en souriant. — Mhoui ! On peut dire ça. Mon minou m’a toujours un peu travaillé. Quand j’étais ado, en colo, j’ai commencé avec une copine dans une tente, un soir alors qu’on fantasmait sur des garçons. On s’est caressées, côte à côte, en nous racontant ce qui nous passait par la tête. J’entendais ses doigts sur son minou. Je sentais une odeur qui n’était pas la mienne. On ne voyait rien mais je devinais. Mais… ce n’est pas ça qui m’a vraiment aidé à me découvrir… Écoutez, je ne l’ai jamais dit à personne, alors de grâce, gardez-le pour vous. Pendant qu’elle nous racontait cela, Héloïse avait laissé ses mains se balader sous nos jambes, et je sentis un doigt passer sur mon minou trempé, et descendre investir mon petit trou. Au mouvement de bassin de Corinne et au regard qu’elle me lança, je compris qu’il y avait une certaine symétrie dans ses actes. Alors je me dis qu’il serait impoli de ne pas lui rendre la pareille, et en arrivant à sa raie poisseuse, je rencontrai la main de Corinne. Comme un ballet de natation synchronisée, nous remontâmes à la recherche de son jus. Je sentis Corinne aller lui flatter un instant son petit bouton, puis nous redescendîmes de concert sa vallée intime et, après avoir atteint son œillet étoilé, nous y introduisîmes chacune ...
    ... notre index, doucement. — Hm, les filles, vous me troublez ! Vous êtes sûres que je continue ?— Raconte ! dis-je d’une voix autoritaire, en enfonçant mon doigt plus fort, bientôt suivi par un autre.— Bon, bref, en fait j’étais hyper excitée, par ce que je voyais, par mon impudeur, et je pris un grand plaisir à poser ma main sur mon minou et commencer à me caresser. Isabelle n’en perdait pas une miette. — Ouhh les filles, c’est bon ce que vous me faites, je ne vais pas tarder à en demander plus.— On verra cela tout à l’heure. Continue ! — Hmmm les filles, allez plus vite, c’est trop bon. Je crois que je vais devoir me caresser, je n’en peux plus. Me prenant soudain à son jeu, je décidai de voir si on pouvait renverser la manœuvre et je lui répondis : — Pas question, tu continues à nous doigter le cul si tu veux qu’on s’occupe de toi !— Mais…— Allez, oui ! Maintenant, NOUS, on va se branler avec la main qui nous reste, mais pas toi ! lui dis-je, les yeux dans les yeux. Joignant le geste à la parole, j’utilisai ma main libre pour me caresser. Corinne en fit autant et, petit à petit, nos deux mains se mirent à l’unisson des doigts d’Héloïse, et nous l’enculâmes de concert de nos deux index bientôt augmentés de nos majeurs. Je sentais qu’Héloïse luttait pour ne pas nous lâcher, mais j’avais réussi à la convaincre. C’est moi qui la dominais. Soudain une lame de fond m’emmena loin, vers un plaisir qui rayonna plusieurs secondes, encore et encore. Corinne s’arc-bouta si vite et si ...