Encore un tipi plus...
Datte: 08/09/2017,
Catégories:
ff,
jeunes,
rousseurs,
uniforme,
danser,
fête,
amour,
noculotte,
strip,
intermast,
Oral
attache,
La soirée bat son plein, ce soir. C’est le paroxysme du week-end ! La musique House bourdonne dans le salon transformé en piste de danse. Tout le monde s’agite sur les airs de Martin Solveig et David Guetta. On se déhanche avec pour seuls buts de s’amuser, oublier la semaine et vivre le week-end. D’autant que ce soir, c’est l’anniversaire de l’une de nos copines et l’on a organisé une grande soirée déguisée. Nous sommes toutes et tous réunis pour la fête, alors lâchons-nous ! Prise par la bonne ambiance de la soirée, je secoue mon corps aux rythmes endiablés du son sortant des enceintes disposées un peu partout. Je souris, ravie, et aussi subjuguée par la perpétuelle grâce d’Esden et le charme qu’elle dégage. D’autant que ce soir, elle porte une tenue surprenante mais qui lui va à ravir. Elle est vêtue d’une tenue d’Amérindienne, couleur peau de bête, avec des lanières de part et d’autre. Un bandeau de tissu cercle son front, deux plumes accrochées derrière la nuque. Cette courte tenue s’arrête bien au-dessus du genou et cela la rend irrésistible. Esden a même poussé le détail en faisant une grande queue-de-cheval avec sa chevelure rousse et elle a dessiné sur ses joues des tatouages d’Indiens comme dans les films. Certes, c’est la première fois que je vois une Indienne rousse, mais c’est sans doute la plus jolie aussi. Comment résister ? Enfin, pas d’inquiétude. Je la surveille de près avec mes deux colts accrochés à la ceinture de mon costume de cow-girl ! Un chapeau sur la ...
... tête, une vraie paire de santiags, une veste texane et nous voici tout droit revenus à l’époque de la ruée vers l’or. La hache de guerre, en tout cas, est enterrée, car nous dansons de plus en plus collées au fil de la soirée. Sur un énième beat techno, nos mains s’enlacent, nos joues se frôlent et nos nez se titillent. Nos jambes et hanches exécutent une chorégraphie commune. Nos yeux ne se quittent plus et on se lance des regards pétillants. Parfois je m’amuse à cligner des yeux de manière suggestive. La soirée se passe à merveille. Voici un passage plus langoureux ; nous dansons, nos mentons collés l’un contre l’autre. Nos lèvres osent à peine se toucher. Laquelle de nous deux craquera la première… J’ai, une fois de plus, perdu. Tant pis ! Nous nous embrassons doucement, tout en dansant. Des bisous softs mais qui trahissent néanmoins nos envies. Esden pose une main sur ma ceinture pour se frotter encore plus à moi. Elle embrasse mon cou, mordille mon lobe d’oreille et y laisse un message savoureux : « Suis-moi, je ne peux plus résister… » En nous prenant par la main, nous nous faufilons à travers les autres couples de danseurs pour enfin arriver à l’escalier qui mène au premier étage de cette grande maison. Nous nous éclipsons sous le regard complice du désir. Arrivée sur le palier, Esden se saisit du col de ma veste et m’embrasse fougueusement à plusieurs reprises. Nous faisons quelques pas, puis poussons l’une des portes que nous savons être celle de la chambre de notre ...