Ballot
Datte: 10/10/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
inconnu,
Collègues / Travail
parking,
boitenuit,
danser,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nostalgie,
... mes phares. Sur le seuil, un couple s’arrête pour s’abîmer dans un long baiser. Ils dégagent lentement le passage. Jenna, pendue aux lèvres du garçon, se rend-elle compte de ce déplacement lent vers un recoin plus à l’ombre ? Elle paraît ensorcelée, abandonnée au baiser et aux caresses de deux mains baladeuses. Son dos est parcouru sur toute la largeur, dans toute sa hauteur, en un va-et-vient incessant, par une gauche insistante qui flâne avec une prédilection particulière sur la croupe. Si le garçon lâche sa bouche, c’est pour lui dévorer le cou, pendant que sa droite prend la mesure des seins. Le baiser reprend, plus gourmand. Jenna s’empare de la tête brune des deux mains. La droite du type glisse sur le ventre, cherche l’ourlet de la robe, remonte entre les jambes dénudées pour s’arrêter dans la fourche. Le baiser dure, la main caresse. La fille accepte, pousse son ventre en avant, se prête à une caresse plus précise. Ils font une pause, les têtes se séparent, mais la main reste en place. Ils se regardent dans le blanc des yeux, semblent discuter un peu, puis le garçon se baisse, pose ses deux mains sur les hanches et fait descendre vers le bas un léger bandeau de tissu, prisonnier une seconde de la vulve. Il empoche le string et ils retrouvent la position précédente, lèvres collées, une main dans le dos et l’autre sous la robe remontée dévoilant le blanc de deux cuisses bien en chair. Sous la pression d’un doigt pénétrant, Jenna a un sursaut, mais ne proteste pas. Au ...
... contraire. La gauche du garçon profite de la distraction produite par la droite dans le vagin envahi pour dégager le corsage et offrir à la bouche un nouveau terrain de jeu. La tête de la belle dessine des arabesques aux lignes inattendues, elle perd la tête, permet tout, ou plutôt s’offre à toutes les caresses et invasions. Elle est maintenant dos au mur, je ne vois plus guère que le dos de l’homme. Seules deux mains blanches derrière la nuque affirment sa présence, puis le bas des jambes apparaît symétriquement de chaque côté du pantalon. L’homme fléchit les genoux, pousse vers le haut. Il a dû rater son coup, baisse les fesses, tente une nouvelle percée, se reprend encore. Un groupe bruyant quitte la salle. Les amants s’immobilisent, debout, interrompus en plein envol. Le gars attrape une main de Jenna et la tire dans ma direction. Je me tasse sur mon siège. Les clignotants de la voiture voisine jettent leurs éclairs. Les deux complices s’arrêtent de l’autre côté du véhicule. Il reprend la bouche de Jenna, le temps de ressusciter l’envie, l’appuie contre la carrosserie basse du coupé sport, la fait ployer en arrière, cheveux épars sur la tôle. Je ne vois pas ce qui se passe à quatre-vingts centimètres du sol, mais j’entends leah de Jenna sous l’impact de la verge qui vient de l’ouvrir. Ses mèches brunes balaient régulièrement le toit blanc de l’auto, de droite à gauche. Ses gémissements et soupirs de bonheur sont de moins en moins discrets, elle finit crescendo sur une note ...