1. Petite bite (1)


    Datte: 10/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... cigogne ne doit pas passer sur notre maison. Je réponds, sans vouloir donner des détails précisant que mon mari n’a pas un sperme suffisamment fort pour assurer une descendance. — Hum. Alors buvons un autre verre en espérant que la cigogne passe chez vous. Mais il faut boire cul sec pour que cela ait de l’effet. Je pense qu’il veut me saouler pour pouvoir profiter, mais d’un autre coté, je vois de l’autre coté de la salle que mon homme prend des libertés un peu trop grandes. Zut, on ne vit qu’une fois. — Tchin ! Et je bois d’un trait ce verre d’excellent bourgogne, Baune village. C’est à ce moment qu’on apporte le dessert, 3 magnifiques tourtes Forêt noire, ma préférée. Elle est encore meilleure que ce que je connaissais, très légère. Tiens que fait donc la main de mon chef sur ma cuisse. Il prend un peu des libertés, mais c’est vrai que c’est un peu le thème de la fête, resserrer les liens entre les employés, mais là, il pousse un peu loin le bouchon, surtout que sa main, à l’intérieur de ma cuisse remonte bien assez haut. Je me retourne vers lui, avec un visage interrogatif et surpris quand je vois que ce cochon a l’air bien excité vu la déformation de son pantalon. — Tu veux quoi ? — J’aimerai bien coucher avec toi ! — Mais je suis mariée ! — Je le sais, moi aussi, mais avec ma femme on est assez libre, cela ne m’étonnerait pas qu’elle embarque ton mari. — Quand même, ils vont consommer où ? — J’ai une grande maison qui se prête bien à cela. — Ah ! Finalement cela ...
    ... pourrait être une expérience intéressante, pensant que peut-être cela aidera ma promotion. — Tu es partante ? — À voir mon coquin de mari qui profite de la situation, pourquoi pas. J’espère juste que je ne vais pas le regretter — Pas de raison. À ces mots, il se lève et fait signe à sa femme pour aller vers les toilettes. Discrètement, je les suis curieuse et j’assiste à ce dialogue : — Tu en es où avec son mari ? — Il est bien chaud, il a l’air très mignon, mais il semble un peu timide. Je ne sais si je vais pouvoir le décider. — Débrouille toi, je pense que sa femme est partante si son mari est occupé. — Bon on se revois après les cafés, si tu me vois partir avec lui, c’est que c’est dans la poche. — Merci, je te revaudrais ça. — Bonne chance. Je fais semblant à ce moment là d’arriver pour me rafraîchir et je les laisse sortir alors que mon chef me regarde à nouveau intensément. Stop pas ici je me dis, il ne faut quand même pas exagérer et je lui rends pas son regard. Laissant passer un peu de temps, le temps de vider ma vessie, je retourne à ma place. Je me rends compte que c’est un coup monté, mais je suis curieuse et j’aimerai bien voir comment cela va évoluer, surtout mon chéri qui me surprend. — Si tu veux après les cafés, comme pousse-café, je te recommande l’armagnac à l’orange, c’est une pure merveille. Ensuite pourra poursuivre la soirée chez moi, cela commence à ne plus être intéressant. — Ce que je ne veux pas, c’est que mon mari l’apprenne, par contre, j’aimerai bien ...
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