Ma meilleure amie drague pour moi (fiction écrite en 03.2008) - Histoires de Sexe

Ma meilleure amie drague pour moi (fiction écrite en 03.2008)

Avec ma meilleure amie Mélissa, nous poursuivons des études universitaires à Nice. Nos parents respectifs, qui se connaissent depuis longtemps, ont loué pour nous un appartement à Cimiez dans la périphérie de la ville où nous sommes en colocation avec deux autres étudiants, également originaires de la région de Clermont-Ferrand. Ces derniers sont en couple et se sont fiancés au cours des grandes vacances précédentes. Aussi surprenant que cela soit et bien que nous nous connaissons depuis le lycée, il ne s’est jamais rien passé entre Mélissa et moi : seule une amitié sincère et sans arrières pensées nous unit. Entre nous il y a toujours eu une bonne entente, sans équivoque. L’un et l’autre nous avons des flirts plus ou moins longs et poussés avec des jeunes de notre âge… Ainsi, nous ne sommes pas trop loin de nos Facultés respectives. Ce samedi de printemps, je n’avais pas trop le moral car ma copine, rencontrée en début d’années universitaire, avait rompu quelques semaines plus tôt. En fait elle abandonnait ses études et retournait vivre à Lille car disait-elle elle était trop loin de sa famille, mais je n’y croyais pas trop. Nous étions seuls pour tout le weekend. Pour me changer les idées et rompre ma morosité, ma meilleure amie a dit soudain en fin d’après-midi : • Viens Grégoire, ce soir nous sortons ensemble en boite ! Nous allons danser et faire la fête ! Je me suis fait un peu prier mais finalement vers 22 heures, nous sommes arrivés devant l’entrée de l’Auberge de ...

... Cimiez, discothèque bien connue dans notre quartier et où il nous arrive d’aller de temps à autre avec une bande de copains et copines. Lorsque nous sommes entrés, l’ambiance était déjà bonne et il y avait plein de danseurs sur la piste et autour dans les allées entre les tables. C’est vrai qu’en mars et avec le fort Mistral qui soufflait depuis quelques jours personne n’était incité à aller sur le bord de mer. Je n’avais guère envie de danser aussi, je suis resté au bar à discuter avec le gérant et le barman. C’était à peu près le seul endroit où on pouvait tenir une conversation tant le D.J. mettait le paquet sur le son. Par principe, lorsque nous sortons en boite, je ne bois jamais d’alcool. C’est souvent à moi qu’échoit la reconduite des divers copains qui en ont besoin mais ce soir nous étions venus à pied, en voisins. Au bout d’un certain temps, ne voyant pas revenir Mélissa, je l’ai cherchée des yeux dans la foule des danseurs. Tout d’abord je ne l’ai pas vue et soudain elle est apparue sur la piste. Elle dansait en face d’une paire d’autres filles dont l’une a tout de suite attiré mon attention. Il s’agissait d’une asiatique au visage agréable et rieur. A voir le regard des trois filles, il y avait comme une sorte de magnétisme qui les reliait d’un lien invisible. Je savais mon amie bisexuelle et je n’étais pas étonné qu’elle danse avec des filles. L’autre était une blonde avec des cheveux très courts avec un visage rond. Elles étaient aussi grandes que Mélissa. La ...