Les animaux de Priape (9)
Datte: 10/10/2019,
Catégories:
Zoophilie,
Ce soir là, nous étions prêts pour la cérémonie qui devait, une fois de plus, nous conduire au bout du monde ou, en tout cas nous permettre de voir ma femme y aller et s’y faire démonter par tous les trous. Nous étions tous déjà nus. Méfistophallos bandait déjà dur. L’eau frémissait déjà dans la cuve de bronze mais il ne se passa rien. Nous attendions étonnés. Rien. Après une très longue attente, déçus, nous comprîmes que cette fois, la magie n’opérait plus. Que se passait-il ? Avions nous déplu au dieu du sexe ? Nous étions-nous trompés ? Méfistophallos tournait en rond, le sexe de plus en plus figé, suintant abondamment. Soudain il se figea et regarda vers la porte. Quant à ma femme, sa chevelure gonflait, ses seins pointaient de plus en plus fort et elle basculait progressivement vers les transes sexuelles de son office de grande prêtresse. Méfistophallos s’élança vers la porte et, pour la première fois, il sortit de la crypte. Pacôme, Aldéric et moi étions très inquiets. Un monstre pareil dans la nature, cela ferait du bruit dans le pays, mais que faire ? Le monstre était d’une telle force qu’aucun de nous n’aurait pu le retenir. Aldéric dit : "Il revient, il revient... mais il n’est pas seul.... pas seul... ce soir, les enfants de Priape vont perdre leur virginité" ! Il s’écoula deux à trois minutes. Ma femme, s’était mise à genoux, jambes écartées, puis avait basculé son corps en arrière offrant sa moule à qui voudrait la pendre. Et ma queue était parée pour. Dans ...
... l’ombre on vit apparaître deux personnes vêtues de capes et, derrière, nous reconnûmes la silhouette de Méfistophallos. Mes yeux ne voulaient pas croire ce qu’ils voyaient. C’étaient mes enfant, mon propre fils et ma propre fille qui avançaient. - Buvons ! dit Pacôme. Attrapant un gobelet, nous le plongeâmes dans la cuve et en prîmes chacun une grande rasade. Elle eut pour effet de lever toute inhibition. Toujours derrière mes enfants, Méfistophallos détacha leur cape dévoilant leur nudité. Je les savais superbes tous les deux mais je ne les avais jamais vu nus depuis leur enfance. Ma fille ressemblait à sa mère. Ses formes étaient parfaites, à faire bander un mort. Mon fils arborait un sexe colossal dont la masse mole se balançait majestueusement à la cadence de ses pas. Il me parut beaucoup plus poilu que d’habitude, du pubis jusqu’aux tétons, sans oublier ses cuisses massives. Il paraissait extraordinairement viril, presque animal. Il s’approcha de sa mère puis fut debout devant elle. Il n’y eut aucun mot échangé. Sa bite se déploya majestueuse au dessus d’elle. Méfistophallos déploya alors sa langue, il lui caressa le bout de la queue et alors il s’opéra une stupéfiante métamorphose. Sa bite grossit encore et le gland se transforma et devint exactement semblable à celui d’un cheval. Mon fils regarda le bout de sa pine d’un air absolument consterné et désemparé. Puis il échangea un coup d’œil avec Méphistophallos et ils se comprirent immédiatement, alors, désormais visiblement ...