COLLECTION AGENT S69. Agent S (1/14)
Datte: 10/10/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Vous allez être obligé de me croire, je viens d’être engagé par les services secrets pour remplir des missions à travers le monde entier. Tout à commencer il y a trois jours quand une jeune femme très mystérieuse, belle dans sa tenue de jogging, m’a abordé près de la porte du parc Montsouris à Paris à deux pas de la fac où je fais des études de langues. Je parle et j’écris avec un niveau bi-langue en français par maman et l’anglais par papa, petite j’ai compris très vite que les seuls objets qui me servaient de jeux, c’étaient les dictionnaires de maman étant traductrice. J’ai appris à parler et écrire seule, l’italien et l’espagnole et mon aptitude à étudier les mots et surtout les phrases m’ont amené à un niveau proche de la perfection. Je suis sortie du cursus normal des études avec mon bac avec mention très bien, tout naturellement je me suis inscrite pour apprendre le russe sans oublier l’arabe mais là pour une autre raison afin de devenir traductrice et interprète comme maman. Le russe la chute du mur ayant entraîné des échanges plus importants avec ce pays et l’arabe, car depuis six mois je couche avec un garçon marocain Asim dont les parents et surtout la maman ne parle que cette langue. Son dialecte arabe par jeu voulant impressionner cette femme que je n’avais jamais vue. Je pensais que nous deux c’était pour la vie, hélas, je devais rapidement m’apercevoir que si j’étais passionné par les langues, j’étais aussi accro au sexe sous toutes ses formes et la bite du ...
... fils était loin de me suffire. J’ai été dépucelé par Asim un soir quand il est venu dans ma chambre d’étudiante puis dans la sienne sans compter les jardins de la cité universitaire où j’acceptais de me faire sauter sur les pelouses derrière des buissons dès que la nuit était venue. Au bout de six mois je savais comment sucer pour faire bander un homme, me mettre en levrette ou dessus lui pour mieux diriger le jeu sans compter ma bouche qui adorait recevoir sa verge jusqu’au fond en gorge profonde. Chaque fois que je finissais de baiser, j’avais hâte de recommencer à tel point qu’un jour un de nos professeurs m’a abordé à la terrasse d’un café au Quartier Latin alors que je regardais des tournures de russes pour préparer le devoir à rendre le lendemain. Le soleil chauffait ma jupe et j’étais à deux doigts de passer ma main dessous pour me caresser sa brûlure me déclenchant des vagues à la limite du plaisir. • Pardon, je m’excuse de vous déranger, étudiez-vous le russe à la fac ! Je lève la tête, notre professeur de russes est assis à la table voisine, il est beau sans être beau, il est vieux sans être vieux. • Vous avez raison, j’étais à votre cour ce matin, je travaille sur le texte que vous nous avez demandés d’étudier pour demain et je dois dire que certaines questions sont assez ardues. Il me répond en russe, je pratique cette langue insuffisamment pour comprendre tout ce qu’il veut me dire, je saisis qu’il habite non loin de là dans un appartement donnant sur la seine. Il ...