1. Fantasme réalisé


    Datte: 10/10/2019, Catégories: Oral pénétration, sodomie, fh, fplusag, jeunes, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, fsodo, cocucont,

    Je regardais Karine allongée nue sur le lit. Jamais je n’aurais imaginé qu’un jour je prendrais du plaisir à voir ma femme avec un autre et, qui plus est, un de ses anciens élèves. Nous sommes mariés depuis 10 ans, 2 enfants, et nous habitons un petit village calme à la campagne. Karine, mon épouse, a 38 ans, brune, 1,70 m, un physique agréable qui ne laisse pas insensible le regard des autres hommes. Nous formons un beau couple, et avons une vie sexuelle épanouie, malgré un manque d’attentions au moment où cette aventure est arrivée. Cela fait 4 ans que nous recevons en fin d’année scolaire des élèves et des profs du lycée où mon épouse est documentaliste. Il fait beau en ces derniers jours de juin 2014. Parmi les conversations, j’entends un élève dire à ses copains qu’il s’est fait une prof. Je le connais : c’est le chouchou de certains profs, dont ma femme. Il vient d’avoir 18 ans ; elle est sa confidente, sa mère, sa copine. Il revient parfois à la maison avec elle, et ma chérie le ramène en fin de soirée ; parfois elle discute avec lui et revient assez tard. Je les imagine en train de s’embrasser dans la voiture, c’est de là qu’est venu l’idée de lui écrire ce fantasme, En octobre, un vendredi soir, il est 22 heures, je rentre du travail. Karine me demande si je veux venir prendre un verre et ensuite aller en discothèque. Fatigué, je refuse et la laisse partir avec Valérie, Franck et Renaud. Je la vois monter à l’arrière de la voiture avec son chouchou. Cette nuit-là, ...
    ... sur mon lit, j’imagine mon épouse se faire draguer par cet élève, lui faire l’amour sur le capot de la voiture ; enfin, de drôles d’idées passent dans ma tête. Je sens en moi monter une drôle de sensation ; je suis très excité, et je vais l’attendre jusqu’à son retour, vers 4 heures du matin. Le lendemain matin, alors que nous prenons notre petit déjeuner, je remarque qu’elle a une drôle de tête. Elle se confie et me dit que Renaud, au cours d’un slow, l’a embrassée dans le cou et qu’elle a refusé d’aller plus loin, qu’elle était mariée, malgré que je ne m’occupe pas d’elle en ce moment. Une brèche est ouverte : il ne me reste qu’à orienter ma femme vers mon fantasme ! Je la regarde et lui dis : — Dommage, tu aurais pu en profiter. Elle se met à pleurer, pas en colère contre moi. Mais le fait que je ne sois pas en colère, c’est que j’avais compris qu’elle se sentait seule. Dans les mois qui suivent, et chaque fois que nous faisons l’amour ou qu’une occasion se présente, je parle de Renaud, qu’elle aurait dû se laisser faire, qu’il doit être un partenaire idéal. Elle ne relève pas ; je dirais même qu’elle y prend du plaisir. Mais de là à coucher avec lui… Le piège se met en place doucement. En avril, il vient faire un stage dans la ville proche de notre village. Comme il n’a pas de moyen de locomotion, Karine lui propose de dormir à la maison. Je m’arrange pour les laisser seuls le plus souvent possible, mais rien. Alors je discute avec lui et, un soir, alors qu’elle n’est pas ...
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