1. Le sous-sol


    Datte: 10/10/2019, Catégories: inconnu, nympho, grosseins, parking, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral préservati, pénétratio, occasion,

    ... pas pressé, donc je modère le mouvement. Je veux la faire languir. Ma main droite file entre ses cuisses et remonte jusqu’à caresser de nouveau sa fleur. Je me surprends à chatouiller sa petite rondelle. J’introduis même un doigt, que je mouille à l’aide de sa sève. Tout en continuant à la courtiser de l’autre main. Ses deux orifices sont occupés. C’est la première fois que je réalise cela. C’est bon, c’est chaud. J’exerce des va-et-vient en alternance. Soudain des spasmes libérateurs l’envahissent. Je plaque alors ma bouche sur ses lèvres écartées, et bois à sa source toute la liqueur d’amour. Je me redresse. La voiture a comme des sortes de tremblements. Les amis doivent bien s’amuser ! Elle enlève sa jupe, la pose délicatement à travers la vitre de l’automobile qui vient de s’ouvrir. Une main lui prend sa jupe, lui donnant en échange un sachet. Puis la vitre se referme aussitôt. Elle me le tend. Il s’agit d’une capote dans son emballage. Pas besoin de lui demander ce qu’elle convoite. Je sors le préservatif de son logement et le déroule sur mon sexe. Je ne tiens plus. Elle prend alors position sur le capot de la voiture. Je place mon gland tout « vinylisé » devant son vagin. Je fais passer sa jambe droite par-dessus mon épaule du même côté. Je réalise la même opération à sa jumelle. Peu à peu, moulinant du bassin, je prends ...
    ... possession de son antre. Millimètre après millimètre, je vois mon sexe disparaître, jusqu’à sentir ce dernier buter au fond de son sexe. Des mots crus perlent de sa bouche, qui agissent sur mon cortex. Mes coups de reins se font de plus en plus puissants, ce qui la rend complètement folle. Elle s’agrippe comme elle le peut au capot, son visage tourné en direction du pare-brise fumé. Elle crie et me somme de ne surtout pas m’arrêter, que ça vient, qu’elle n’en peut plus. Sans même m’en rendre compte, je perds le contrôle de la situation. Je sens la sève monter irrésistiblement de mes reins. Avec un hurlement sauvage, je me rue encore plus violemment dans ce sexe qui m’accueille et qui m’inonde. Au bout de quelques minutes d’une rare intensité, nous tombons tous deux vannés, sur le capot, dans un dernier cri commun de contentement. Nous restons là tous les deux accouplés pendant un instant, cuvant notre orgasme. Puis je me redresse, l’émancipant. Elle prend alors contact avec le sol. En me frôlant, je l’entends me chuchoter un merci, puis elle disparaît comme une ombre, dans la voiture, du côté passager. Je retire mon préservatif souillé, puis me rajuste. J’assiste au démarrage de la voiture. Les jambes en coton, je retourne jusqu’à ma voiture. Devant celle-ci, je ramasse les clefs toujours au sol. Je rentre à l’intérieur et m’assoupis un instant. 
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