1. Christiane et Claude les parents de mon pote Jean-Louis (1)


    Datte: 11/10/2019, Catégories: Transexuels

    Salut c’est votre folle de lycra Jean Louis et moi étions comme des frères, nous nous connaissions depuis notre plus tendre enfance et ne nous étions jamais quittés. Cette année ça changeait car ses parents le laissaient en pension, sur sa demande; alors que moi j’entrai à la fac. Nous avions dix-huit ans pour quelque mois encore et avions tout vécu ensemble; le fait qu’il parte sept ou huit semaines était aussi une déchirure pour moi. Pour vous faire une idée, depuis cinq ans nous étions en pension dans le même bahut et rentrions tous les weekends; nous avions roulé notre première gamelle à la même soirée, l’année précédente. Ah.., j’avais oublié de vous dire que nous souffrions tous les deux d’une timidité maladive; nous manquions énormément d’assurance. Je fantasmais énormément sur sa maman, Christiane; bien qu’elle soit d’une grande beauté, sa dureté et sa fermeté me laissaient bête quelquefois. Ses parents l’avaient eu très tôt et c’est sa grand-mère qui s’était occupée de lui au début, le temps qu’ils finissent leurs études. Imaginez, depuis quelque mois, Jean Louis et moi poussions le vice jusqu’à aller sentir les petites culottes de Christiane dans le bac à linge; ah.., si elle savait... Plus récemment nous avons été encore un peu plus loin, à savoir que dans un délire au début, après c’est devenu une habitude; Jean-Louis me faisait enfiler les vêtements de sa maman. Mon pote se marrait à me voir enfiler les collants de sa mère ainsi que ses culottes, ses bodys ou ...
    ... ses robes; mine de rien cela ne me laissait pas indifférent. Il se moquait surtout de moi car juste le fait de me déshabiller, en sachant que j’allais me métamorphoser; cela me filait une érection monstrueuse. Bien que mon sexe soit plaqué par une culotte et un collant il restait proéminent et on le voyait sans problème à travers la robe. Je me sentais vraiment femme jusqu’au bout des doigts quand j’étais vêtu ainsi et Jean-Louis a fini par s’en rendre compte. Un jour il a commencé à me caresser le sexe et machinalement je me suis laissée faire, j’ai même été à la recherche de ses caresses. Depuis le début que je m’amusais à me faire belle pour mon pote, j’avais réalisé que j’avais choisi mon camp; à se voir celui du soumis. Maintenant, régulièrement mon copain d’enfance me caressait le sexe, mes petites fesses, me claquait parfois; il allait même jusqu’à me titiller les tétons. Il y avait de la moquette dans sa chambre et j’ai trouvé ça très agréable de marcher dessus avec des collants. Je rêvais maintenant de pouvoir enfiler des escarpins mais je faisais deux pointures de plus que sa maman. Ses attouchements étaient d’une efficacité remarquable et je m’offrais de plus en plus à lui. Maintenant dès que j’arrivais chez lui, il fermait la porte de sa chambre à clé et je me déshabillais pour enfiler les vêtements qu’il m’avait préparés. Je suis rapidement devenue sa soumise offerte et prête à tout faire pour lui donner du plaisir. Au début, une fois que j’étais métamorphosée en ...
«1234»