1. Le garçon boucher 5


    Datte: 12/10/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... femme, affligé de douleurs dorsales, ce ne peut pas être le fait du hasard. Il comprend vite, surtout lorsqu’il aperçoit Henri et sa massette Je lui laisse le temps de se déplier péniblement et je lui fais signe de s’allonger sur mon lit. - C’est bien là que tu comptais t’installer. Vas-y, je ne coucherai plus sur ce matelas , profite de ma bonté. Il n’a pas eu beaucoup de temps pour étaler ses talents de baiseur. Il se soumet à la loi des deux vainqueurs. - Vous n’allez pas montrer des photos de moi tout nu ! - Pourquoi pas ? T’avons-nous forcé à te mettre à poil dans cette chambre ? Il ne fallait pas te faire coincer. Quelques tours d’un ruban collant de toile forte autour des chevilles et des poignets le privent de sa liberté de mouvements. Une pince à linge sur le nez lui ouvre la bouche, car il faut respirer. Entre les lèvres ouvertes je lui fais avaler la tambouille au bromure qui m’était destinée. Ça ne devait pas me tuer, mais calmer mes pulsions. Cela ne peut pas lui faire plus de mal qu’à moi et comme il n’a pas pris de repas de midi pour être à l’heure ici, avec sa Dulcinée, il avale la dernière invention culinaire de sa maîtresse. Sans méfiance ! - Attends, tu dois avoir soif. Tu as droit à une bière. Quoi, c’est de la faute de ma femme ? Elle t’a forcé à venir ? Elle est vraiment si forte ? Tu ne l’as pas pénétrée ? Vraiment ? Tu mens ! Je l’ai entendue se plaindre de ta maladresse, comme je vous ai vus et entendus hier. Tu boirais volontiers ? Je reviens. A ...
    ... mon retour j’ai une canette décapsulée et un flacon en main. - Marcel, je verse combien de dosettes de ta poudre dans ta bière ? - Ah ! Non, pas ça. Pas de poudre, je ne la supporte pas, ça me fout des boutons. - Mais non, tu viens d’avaler mon repas de midi chargé de bromure et tu n’as pas de boutons. - Salaud. Non , je n’ai plus soif. Il respire un grand coup et ferme la bouche. Il sera vite forcé de l’ouvrir et je lui planterai un entonnoir entre les dents. - Bois, tu n’emmerderas aucune femme ce soir. C’est-ce que tu voulais pour moi. Généreusement je te rends la monnaie de ta pièce. Meurt-on avec deux dosettes ? Trois ? Il est blême. Cela vaut la photo. - Pour garantir la tranquillité des femmes de la ville, j’ajoute à la chimie dont tu es friand cet objet. Tu connais ? Non ? C’est une cage de chasteté en acier inoxydable livrée avec deux clés. Je n’ai pas rechigné sur le prix. Je l’installe à la base de ta verge et je garde les clés. Désormais quand tu retrouveras des forces et l’envie de tromper Laure avec une bourgeoise autre que la mienne, tu viendras me demander de te libérer? - Oh ! Tu es dingue. Enlève-moi ça tout de suite. Je te ferai la peau, cocu! - Tu profères des menaces devant témoin ? Ce n’est pas raisonnable. Réfléchis à ta situation. Nous perdons notre temps. La suite. Henri et moi transportons la momie au garage, l’attachons à la conduite d’eau principale. Je m’assure de son silence en collant un scotch large sur sa bouche et autour de sa tête sur ses ...