1. Hortense


    Datte: 12/10/2019, Catégories: fhhh, religion, grosseins, poilu(e)s, entreseins, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, confession, historique, humour,

    ... inconfortables – après de telles séances. On s’y habitue, et je dois même l’avouer, y prendre goût. Le curé fit un léger malaise à ce moment. Il s’arracha les poils de la barbe. — Ces gentils chenapans, après avoir pris quelques repos, y reviennent plusieurs fois. Aussi, pour accélérer le mouvement, je les prends à plusieurs.— ? Le curé n’en était plus à une horreur près. — Il m’arrive de les prendre à trois en même temps.— Trois… ensemble ? dit-il d’une petite voix.— Une histoire de ramoneur, semble-t-il. Cette façon de faire semble les émouvoir plus que de coutume : ils se lâchent plus rapidement. Je tiens cependant à ce qu’ils soient tous entièrement libérés.— C’est à dire ?— Qu’ils n’émettent plus aucune semence, question de principe.— Vous risquez votre âme, ma pauvre enfant…— Que nenni, mon Père : je sauve la leur. « Allons bon, voilà autre chose encore… » — J’avoue que quelque chose m’échappe dans votre raisonnement.— Si je ne les occupais point, ils seraient livrés à eux-mêmes, à leurs pensées lubriques. Ils seraient alors tentés d’aller voir des femmes de petite vertu, qui les feraient payer, alors qu’avec moi c’est gratuit.— Encore heureux ! s’exclama le religieux. Elle ignora l’interruption. — Ils y perdraient leurs économies ; leurs femmes et leurs enfants n’auraient plus rien à manger. Je les sauve de la tentation, je sauve leurs âmes et leurs foyers. « Elle se voit en sainte, maintenant… » gémit en son for intérieur le curé en buvant un coup de blanc. Il essaya ...
    ... tous les arguments pour la convaincre de mettre fin à ses activités. — Ils pourraient devenir dangereux !— Que nenni, mon Père ; ce sont tous de parfaits gentilshommes. Galants, courtois, délicats, sensibles et attentionnés à mon égard. Ils m’aident même à mon habillage après ces folies ; ils s’y entendent d’ailleurs très bien. D’autre part, s’ils étaient aussi dangereux que vous semblez l’insinuer, je n’aurais pas invité Madeleine Saulnier, qui est dans la même situation matrimoniale que moi. Nous ne serons pas trop de deux si mes nécessiteux viennent plus nombreux encore. Alors, vous me la donnez cette absolution ? Le prêtre eut soudain un grand sourire. — Vous me faites une farce : c’est une invention, une fantaisie que vous me faites avec vos amies. Vous vous moquez de moi.— Pas du tout. Dans quinze jours, vous organisez une semaine entière de dons et de charité. J’y serai ; Madeleine et mes nécessiteux aussi. J’espère qu’ils seront plus nombreux, que je sauverai plus d’âmes.— Vous voulez entraîner une malheureuse dans votre péché et votre folie ?— Que nenni, mon Père : non pas un péché, mais un sacerdoce. Le prêtre s’arrêta quelques instants, les doigts sur l’arête du nez, en profonde réflexion. — Soit. Admettons que tout soit vrai. Quelle aberration a bien pu vous amener à cela ? Elle songea à ces derniers mois, revit cette folle fin de semaine de mai. — Lors de cette première journée fatidique, le jeudi, j’ai entendu Charlotte de Beaugy raconter partout que mon mari me ...