1. Le jardin de la "colonne", la nuit.


    Datte: 12/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    L'été, le bus qui va à la plage est toujours bondé, quelle que soit l'heure. Pour moi, c'est la seule ligne qui passe par chez moi. Ce jour-là, je remarque tout de suite, une fille avec un joli cul. Elle me tourne le dos. Donc, elle ne voit pas le regard insistant que je porte sur cette partie de son anatomie. A mesure que le bus progresse et que le flux des voyageurs qui nous sépare, diminue, je me rapproche d'elle. Elle n'a pas l'air de vouloir descendre. Excité par le galbe de son cul, je laisse passer l'arrêt où je descend d'habitude. Encore quelques passagers, et j'accéderai à ce joli fruit charnu. Et voilà, je suis près d'elle. Je me campe derrière, et j'esquisse un toucher léger. Pas de réaction. Je me rapproche encore un peu. La caresse se fait plus précise. Obnubilé par ma quête, je ne me suis pas aperçu qu'un grand gaillard , m'avait suivi. J'ai senti que quelqu'un se collait à moi, dans mon dos. Bizarre, il me semblait qu'il y avait moins de monde. C'était un mec. Et il était en forme. Je sentais sa bite contre mon cul. Ce n'était pas un hasard. Je sentais que le mec cherchait à loger sa pine entre mes fesses, sur la raie. Comme je me dégageai vers l'avant, la fille au sublime cul, recula pour se coller à mon bas-ventre. Ma bite grandit et se raidit immédiatement. Dans le même temps, le bite sur ma raie me mit en émoi. La fille saisit ma queue à travers le pantalon et la serra dans sa main. Le gars derrière moi, se pencha et glissa à mon oreille : - Tu descends là ...
    ... ! Le ton était péremptoire. Je n'ai pas résisté et suis descendu du bus. La fille passa son bras autour de mon cou, comme si nous nous connaissions. Du coin de l'oeil, je vis que le gars était descendu lui aussi. Il nous suivait à distance. Tout en haut de la rue, il y avait un jardin. Cet endroit est connu pour abriter les ébats des aventuriers du sexe de tout poil. Qu'allait-il m'arriver ? J'en salivait à l'avance. J'aime ce genre de rencontre. Je n'entame jamais les hostilités. Je suis un passif. Je ne prend jamais rien, je donne tout, mon cul, ma bite, ma bouche. Aux hommes et aux femmes, indifféremment. On peut m'utiliser, chacun à sa guise. La fille me regarde et me dit : - Ca fait trois jours que James te suis. Quand on a un cul comme le tien, on ne peut pas être innocent. Le James en question s'était assis sur un banc. Il avait baissé son pantalon. Son gros sexe était majestueusement dressé au milieu d'une forêt de poils roux. Il devait être britannique. La fille passa derrière moi, et me poussa doucement vers le rosbif à la bite flamboyante. Elle me glissa à l'oreille : - Mets-toi à genoux... Pas besoin de me faire un dessin, sur leurs intentions. Je me mis en position. Je me penchai vers l'engin de l'angliche, la langue dehors. J'ai léché d'abord la colonne puis les couilles du grand breton, histoire de le débrider, puis, j'ai empoigné sa bite. J'ai donné un coup de langue sur le méat, ce qui a provoqué un mouvement de ses reins. Il m'a saisi par les cheveux, et a ...
«12»