1. Chantal, la sœur de Marilyn (1)


    Datte: 12/10/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... pathétique tentative pour lui fêter son anniversaire. — Joyeux anniversaire, Chantal. Elle semble un peu gênée mais elle s’est assise avec moi pour manger le gâteau. — Je sais que tu dois détester être loin de tes amies et tout le reste, mais je vais bien m’occuper de toi. Dis-je en débarrassant la table et je me réjouis lorsque Chantal m’aide sans rien lui demander. — Ce n’est pas grave, j’avais besoin de faire un break. Il fait déjà chaud et je vois qu’elle transpire un peu sous les bras et le long de sa colonne vertébrale, et elle n’est clairement pas habillée pour une journée aussi chaude. — Désolé, mais je n’ai pas de climatisation et tu dois avoir terriblement chaud avec tes habits. — Oui, Je suppose que je peux me mettre à l’aise maintenant que papa est parti. Et elle retire son sweet pour répondre à beaucoup de mes questions. Par où commencer ? Chantal me regarde un peu nerveusement guettant ma réaction et moi je me force pour avoir un comportement normal et impassible. Chantal à juste un léger caraco jaune vif qui lui arrive en dessous des seins et évidemment rien en dessous. Ses seins sont petits et probablement en forme de poire. En se tortillant pour retirer son sweet, on peut distinguer le contour de ses tétons à travers le tissu de coton. Elle a des taches de rousseur partout ; sur ses épaules et le cou et sur l’extérieur de ses bras minces aussi. Elle est si fine que ses petits seins, qui auraient pu être perdus sur une poitrine normale, semblent plus ...
    ... proéminent sur elle. — Est-ce que je peux rester habillée comme ça ici. Maman piquerait une crise si elle me voyait comme ça, sans aucun soutien-gorge. — Euh, bien sûr, et cela te va bien. — T’es vraiment chouette ! Il fait vraiment chaud ici. J’essaye de détacher mes yeux de cette nymphette avant qu’elle ne découvre, dès le premier jour, le pervers qui est en moi — On dirait que tu ne t’es pas fait beaucoup bronzer cette année. Quand elle me tend un plat, mon œil est attiré par quelque chose que je ne m’attendais pas. Furtivement je vois une touffe de poils roux qui tente de s’échapper de l’échancrure de son caraco. Quand Chantal voit ce que je regarde, elle lève lentement son bras pour s’essuyer son front avec le dos de sa main, mais ce mouvement me donne un gros plan sur l’épaisse touffe de poils qui semblait faire irruption dans la vallée caverneuse de son aisselle et la naissance de son sein. La pâleur de l’intérieur de son bras fait rend sa fourrure encore plus brillante. — Merde ! Je viens de lâcher l’assiette que j’avais dans la main. — Désolé, jacques, me dit Chantal quand nous nous relevons après avoir ramassé les morceaux. Je ne voulais... Je veux dire... Marilyn m’a dit que tu aimais ça. Chantal s’est éloignée rapidement de moi après avoir lâché ses mots qui m’ont envoyé un gros frisson dans mon corps et elle se dirige vers le jardin. — Chantal…Attends ! Je suis très troublé car il me semble que Marilyn a dit certaines choses à sa sœur. Mais jusqu’où est-elle allée dans ...
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