1. Cocu avant mariage 3


    Datte: 12/10/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Cocu avant mariage 3 Le doute n’est pas possible Ce vendredi j'ai travaillé sans souffler, abattu mon boulot comme un forcené. Ma tâche accomplie, j'ai pu quitter le chantier une heure plus tôt que d'habitude. Après une douche rapide, pressé de retrouver Léa et de l'aimer, de lui faire l'amour mieux que dimanche dès ce soir, de lui montrer que je serai un excellent mari, au lit comme amant et partout comme compagnon, j'enfourche ma mobylette et je roule à fond pour ne pas rater sa sortie du boulot. Avec un peu de chance, je pourrai la cueillir devant son magasin à l'heure de la fermeture. Je suis fou de bonheur, rien ne ralentit mon allure, les feux passent au vert quand j'en approche. Cupidon m'aide.. Léa sera ravie de la surprise puisqu'elle n'aura pas à attendre le samedi matin pour m'embrasser. Il est dix-huit heures cinq quand je me glisse entre deux voitures en stationnement au bord du trottoir. C'est l'heure pile. Léa sort, Léa se précipite dans les bras d'un gaillard. Je le connais, c'est Thomas ! Ils s'enlacent, s'embrassent. Sans perdre de temps Thomas la fait asseoir à l'avant d'une Toyota rouge, prend la place du conducteur et démarre. J'ai mal vu ? Je m'engage à la poursuite de la voiture. Je veux savoir si le jeune homme la reconduit à la maison. Que signifie leur baiser ? Grâce aux limitations de vitesse ma mobylette garde le contact. Où vont-ils? Ils sortent de la ville, je vais les perdre de vue. Non, le clignotant droit indique un changement de direction, ...
    ... les témoins de frein s'allument. l'auto s'engage à droite sur un chemin forestier. Je connais le coin. C'est un cul de sac, une barrière interdit d'aller loin en forêt . C'est bien ça. La voiture est arrêtée à une centaine de mètres. J'abrite ma mobylette derrière un bosquet et je m'avance d'arbre en arbre à travers les fougères à hauteur du véhicule. Le galant fait descendre ma Léa. Et le baiser reprend. Léa avait assuré - JAMAIS il ne me baisera ! Je t'appartiens, à toi, pour toujours. Eh ! bien, le pensait-elle ou l'a-t-elle oublié. Comment expliquer le revirement qui la livre aux bras et aux lèvres de ce Thomas ? C'est écoeurant. Des portières arrières sortent Josiane et Guy. Ils ouvrent une couverture et vont l'étaler devant la Toyota. Je m'approche au plus près, à l'abri de la végétation pour ne pas être vu, assez près pour voir et pour entendre. Josiane interrompt les embrassades amoureuses. - Hé, vous deux, vite. Votre couche est prête. Léa n'oublie pas l'heure. Je ne pourrai pas toujours te servir d'alibi auprès de tes vieux. - Alors on y va. Bon, les filles vous savez comment me mettre rapidement en forme. Comme chaque jour, de la semaine, gouinez-vous un peu, belles salopes, j'adore. Debout, pour le plaisir du mâle les filles s'étreignent tandis que Guy se poste à l'arrière du véhicule, en sentinelle, tourné vers la route. A pleine bouche Léa et Josiane se bouffent le museau, se tâtent les seins, agitent leurs bras, envoient leurs mains "aux paniers". Je suis effaré ...
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