Qualifications : 3 soirées plaisantes - Histoires de Sexe

Qualifications : 3 soirées plaisantes

... temps passer durant cette première partie. Lorsque l’entracte est arrivé, je m’étais laissé emporter par Alfred et les caprices de sa Marianne. Les lumières se sont allumées et certaines personnes en ont profité pour s’étirer, d’autres se sont levées. — Bon eh bien je vais me dégourdir les jambes et passer aux toilettes, tu viens ?— Oh, non merci, je vais rester là, la cohue ce n’est pas mon truc…— Bon eh bien à tout de suite, a-t elle dit avec un grand sourire. Profitant de l’absence de son amie, j’ai tenté d’engager la conversation : — Alors, avez-vous aimé cette première partie ?— Oui, beaucoup, c’est plein de romantisme et les acteurs le font ressentir à merveille. Cela me rappelle mes lectures passées, et vous ?— Eh bien, j’ai trouvé cela bien. Ce style n’est pas ce que j’affectionne le plus mais je compte bien rester pour la seconde partie. Au fait, je me prénomme Éric.— Moi c’est Martine et mon amie c’est Patricia, nous sommes amies de très longue date. En fait, vu l’engouement pour le foot qu’ont nos maris, nous avons décidé de sortir durant les trois matchs que compte le début de la coupe du monde, histoire d’éviter des soirées rébarbatives.— Eh bien je crois qu’ici, nous sommes tous ainsi !— C’est vrai, mais il n’y a que de très rares hommes dans le public.— Eh oui, comme quoi les femmes sont peut-être plus sensées…— Peut-être. Nous étions sorties pour nous divertir mais la compagnie d’un homme ne me pose aucun problème, bien au contraire…— Vraiment ?— Tout à ...

... fait. En tout cas, nous avions discuté sur le fait de nous faire draguer mais sur le plan de la rigolade. Vous savez, nombre de femmes savent se divertir en l’absence de leur supporter de mari, et pas seulement au théâtre… Durant la conversation, j’ai pu distinguer ses traits plus attentivement : assez fine de visage, ses yeux bruns derrière ses lunettes étaient habillement maquillés. Sa poitrine sans être énorme semblait bien faite. Son amie est revenue, nous surprenant à parler ensemble : — Eh bien, je te laisse cinq minutes et toi, tu entreprends ce jeune homme !— Eh oui ! Patricia, je te présente Éric. Éric et moi devisions sur la première partie de la pièce.— Ah oui, c’est tout ! Et que faites-vous dans la vie jeune homme ?— Je travaille dans l’informatique.— Martine est institutrice et moi infirmière. La conversation a été écourtée par la pénombre, annonçant la reprise de la pièce, dans le noir, Martine m’a chuchoté : — Excusez l’impertinence de Pat’, elle est comme cela.— Ce n’est pas grave, cela causera sa perte, lui ai-je répondu à voix basse en m’approchant d’elle.— Que voulez-vous dire ? Aussitôt, j’ai posé la main sur sa cuisse pour la caresser furtivement et avançant ma tête, mes lèvres ont rencontré sa joue, non loin de la commissure de ses lèvres. Après un léger recul, mes lèvres ont rencontré les siennes et nous nous sommes embrassés pour nous séparer juste avant que les lumières inondent la scène. — Cela vous convient-il comme réponse ? Un grand sourire me ...