La sellette de Tannhäuser
Datte: 14/10/2019,
Catégories:
f,
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fbi,
hplusag,
frousses,
religion,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
historique,
délire,
fantastiqu,
... déjà elle ronronnait de plaisir. Je pris délicatement ses petits seins à pleines mains, et commençai alors à les masser tout en douceur, m’attardant légèrement sur ces aréoles aussi fines que délicates et qui déjà pointaient vers le ciel. Le moindre contact de mes doigts sur ces extrémités la faisait couiner doucement… Et si je m’aventurais à cesser de m’occuper d’elles, elle me murmurait quelques mots dans sa langue que je ne comprenais pas, mais le ton désapprobateur en disait plus que tout, tout comme le fait qu’elle reprenait instantanément mes mains pour les remettre sur ses seins. À ce tarif-là, je n’étais pas près d’accéder à son buisson ardent… Je finis toutefois par y parvenir en continuant la caresse de ses seins avec une seule main, tandis que l’autre descendait doucement sur son ventre. Elle n’écarta pas spontanément les jambes, mais ne résista pas non plus quand ma dextre atteignit enfin la lisière de sa toison pubienne. Lorsqu’un doigt inquisiteur s’immisça entre ses lèvres intimes, elle ne put retenir un « oh » de surprise, suivi d’un regard aussi étonné que ravi. Je continuai donc mon exploration, descendant lentement entre les lèvres qui doucement s’écartaient sans que j’aie besoin de le faire à leur place, jusqu’à l’orée de la grotte intime. L’humidité que j’y trouvai n’avait rien à voir avec l’eau de la baignoire dans laquelle nous étions, aussi osai-je y glisser l’extrémité d’un doigt fureteur. De nouveau, Pétra ne put retenir un petit cri de surprise, et ...
... tout son corps s’arc-bouta alors sous l’effet de la caresse. Mes doigts remontèrent doucement, jouèrent quelques instants dans les rares poils de son pubis, avant de redescendre à la recherche de son clitoris. À peine avais-je posé le doigt dessus que tout son corps se tétanisa et qu’elle partit aussitôt en une longue plainte, les yeux révulsés, tandis qu’elle appuyait sur ma main comme une forcenée, comme si elle avait soudainement peur que je la retire et que j’arrête mon étreinte. Elle ne comprenait pas ce qui venait de lui arriver, mais moi je le savais : elle venait tout simplement de jouir… Cela dit, c’était bien la première fois qu’une fille grimpait aux rideaux avec aussi peu de stimulation. Par jeu, je ne lui laissais qu’à peine le temps de reprendre son souffle et de se remettre de ses émotions pour recommencer déjà mon travail de sape. Elle ne sentit pratiquement pas ma main descendre doucement jusqu’à son sexe aux lèvres cette fois complètement ouvertes, et cette fois le bout de mon majeur s’insinua directement et sans tergiverser à l’orée de sa chatte. Pour toute réponse, tout son corps s’arc-bouta sous la caresse. Non, elle n’aimait pas ce que je lui faisais, elle adorait… J’avais même l’impression que chaque millimètre de doigt que j’enfonçais en elle la faisait se tendre davantage. Je voulais cette fois faire durer le jeu, aussi ne la pistonnais-je pas directement, ce qui aurait, son regard m’en était témoin, déclenché un deuxième orgasme aussi rapidement que ...