1. La sellette de Tannhäuser


    Datte: 14/10/2019, Catégories: f, fh, ff, ffh, fffh, fbi, hplusag, frousses, religion, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, historique, délire, fantastiqu,

    ... par les cheveux. Il la léchait désormais avidement, pinçant les lèvres de son minou entre les siennes, les suçant, les mordillant, les cajolant, puis sa tête se releva légèrement et le rictus qu’eut alors la fille à ce moment suffit pour que je devine qu’il venait tout bonnement de s’attaquer à son clitoris. Et à en juger par son regard, cela m’avait tout l’air d’être délicieux… À bout de souffle, et profitant de ce qu’Elsa venait de relâcher quelque peu son étreinte, il se redressa et décida alors de remplacer sa langue par ses doigts, s’enfonçant avec une infinie délicatesse dans le vagin, sans doute encore extrêmement sensible au niveau de l’hymen. Je vis disparaître à l’orée de la chatte un doigt, puis deux, puis trois, qu’il fit ensuite doucement aller et venir. La fille se mit à respirer de plus en plus fort, tandis que son bassin semblait possédé d’une vie propre, cherchant les doigts de son homme comme pour pouvoir se les enfoncer encore plus profondément, un peu comme si elle voulait que sa main tout entière pénètre tout au fond de son ventre. Ses petits cris devinrent de plus en plus aigus, de plus en plus insistants, tandis que ses coups de reins redoublaient de plus belle, allant vers ces doigts qui l’enfilaient. À ce moment précis, l’armée du seigneur ou du pape aurait bien pu débouler au complet dans la clairière, plus rien n’aurait pu l’arrêter, partie qu’elle était vers son plaisir, et rien ne pouvait l’en distraire, quand bien même le monde se serait ...
    ... écroulé. Elsa se souleva alors sur ses coudes, fascinée qu’elle était par ces doigts qui allaient et venaient dans sa chatte, hypnotisée par ce spectacle dont elle était simultanément actrice et spectatrice. Mais ses yeux restèrent mi-clos tandis que son bassin vint peser une fois de plus sur la main de son homme, comme pour chercher à l’enfoncer encore un peu plus loin en elle. D’où j’étais, je voyais aussi sa mâchoire serrée, son visage tendu, son regard presque sérieux. Il ne fallait pas être très fort pour comprendre ce qui se tramait : cette fois, c’était la bonne, elle allait décoller, et elle se concentrait sur le plaisir qui montait, montait, montait en elle, comme un arc qui se tend. Puis soudain, ses petits cris passèrent un cap, devenant de plus en plus rauques, de plus en plus puissants, jusqu’à ce qu’elle hurle purement et simplement sa jouissance, son visage rejeté en arrière, les yeux dans le vide, faisant fuir les oiseaux de la clairière. Après un ultime coup de bassin, elle se laissa retomber en arrière et éclata en un rire aussi nerveux que parfaitement incontrôlable. Avec moult précautions, je reculai alors assez loin, juste avant de réavancer en faisant cette fois du bruit. Ils m’entendirent, et partirent en courant se cacher dans la grange. — Salut, les amoureux ! Ce fut sans doute Axel qui fut le plus prompt à se rhabiller, car c’est lui qui m’ouvrit la porte. — Jean-Luc ! Quel bon vent vous amène ?— Rien du tout, je suis juste revenu reprendre mon engin… ...
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