La sellette de Tannhäuser
Datte: 14/10/2019,
Catégories:
f,
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fffh,
fbi,
hplusag,
frousses,
religion,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
historique,
délire,
fantastiqu,
... assauts de mes mains les poussait en avant, faisant presque bouger le lourd tronc qui pourtant devait peser des tonnes. Je sentais leurs corps se tendre et se tendre encore, le moment de leur libération était proche, et elles partirent presque simultanément en une longue plainte. À peine étaient-elles revenues sur terre qu’elles me rattrapèrent par la queue, me chuchotant à l’oreille. — C’était bien, mais ce n’est pas ce qu’on était venues chercher… Décidément, elles avaient de la suite dans les idées fixes. Je n’allais pas m’en tirer comme ça. — OK, remettez-vous en position, dans ce cas… De nouveau, elles se remirent face au tronc, se cabrant cette fois à la limite de ce qui leur était possible. De nouveau, je glissai deux doigts dans leurs trous respectifs, mais cette fois, elles ne se mirent pas aussitôt à gémir comme elles l’avaient fait la première fois. Tout au contraire, elles se laissaient faire, mais elles attendaient bien autre chose… Alors, sans hâte, je me mis à récolter autant de mouille que je pouvais pour la remonter au niveau de leurs petits trous, que je titillai doucement de la pointe de mon doigt, juste le temps de redescendre et de reprendre une nouvelle cargaison de cyprine. Très vite, je pus enfoncer un doigt, puis deux, tandis que leurs bassins oscillaient doucement, allant tantôt à la rencontre de mes doigts, tantôt se refusant doucement. Je sentais qu’elles mouraient d’envie de connaître cette nouvelle sensation, mais qu’en même temps, et c’était ...
... bien normal, elles avaient peur que je leur fasse mal… Le moment qu’elles attendaient tant vint enfin. Je décidai de commencer par Silvia, dont le sphincter m’avait semblé moins raide que celui de Claudia. Toutefois, je la sentais tendue, je ne savais que penser ; aussi ce fut avec mille précautions que je présentai mon sexe devant sa délicate rosette, m’attendant quand même à un refus. J’y allai donc avec toute la douceur dont j’étais capable ; mon gland commença à peser doucement sur l’œillet. Désirant avant tout ne pas faire de mal à ma partenaire, je m’introduisis le plus doucement possible dans cet étroit conduit, pénétrant millimètre par millimètre. Au fur et à mesure que je m’enfonçais, ses muscles se détendaient, et quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’elle prit les devants en s’embrochant sur moi d’un magistral coup de reins qui m’engloutit jusqu’à la garde. Enfoncé en elle tout au fond de ses reins, je n’en croyais pas mes yeux… Quant à elle, son rictus valait son pesant de carottes, mélange de douleur et d’immense fierté. Alors, ne sachant pas comment elle allait réagir, je commençai mes allées et venues dans ce fourreau inhabituel mais qui semblait quand même de moins en moins serré au fil de mes allers et retours. Elle aimait cela, c’était évident, mais d’une part je sentais bien que je n’arriverais pas à la faire jouir de la sorte, d’autre part le regard de Claudia qui s’impatientait en disait long, et puis, presque accessoirement, il allait falloir que de nouveau ...