Un enchaînement de circonstances
Datte: 14/10/2019,
Catégories:
fh,
fdomine,
facial,
Oral
hdanus,
sm,
hsoumisaf,
Masturbation
... doigt énorme comme le canon d’un 347. Et toi Roger, tu prends la 7 et tu fais pas chier.— Bon, ben d’accord Famara… C’est toi le taulier après tout. Tandis que Laurel et Hardy sortent, emportant avec eux mes derniers espoirs de délivrance sans contorsions pénibles, j’interpelle le « taulier » en question. — Euh, Famara ?— Oui ?— Elle est partie où Sall… Lucie ?— Ça te regarde pas. Tu attends qu’elle revienne, c’est tout.— Écoute… Je ne voudrais pas être désagréable, mais ça fait plus d’une demi-heure qu’elle est partie. Alors…— Alors écoute, toi aussi… Lucie, c’est une reine. Elle fait ce qu’elle veut, comme elle veut, et personne ne lui demande rien. Même pas moi…— Mais… Tu es le boss, si j’ai bien compris.— Ouais, si on veut… Mais même moi, je ne sais pas lui tenir tête. Lorsqu’elle veut vraiment un truc, elle l’obtient toujours.— Ah… Et qu’est-ce qu’elle veut, selon toi…— Ben je sais pas ce que tu lui as fait, man, mais j’ai bien l’impression que tu vas être gâté.— Qu’est-ce que tu entends par là… man ?— Que tu vas prendre cher… dit-il en éclatant de rire. Wha ah ah ah… Ah ouais, mec… tu vas prendre… Ah ah ah… Et il se tire en fermant la porte à nouveau. Là, je commence vraiment à flipper. Je me décide à agir. Je lance mes jambes derrière ma tête, et commence à farfouiller dans mes poches. L’opération s’avère un peu plus difficile que prévue, mais je finis tout de même par choper un trombone qui traînait miraculeusement dans la poche gauche de mon blouson. Je commence à ...
... le déformer et entreprends de crocheter la serrure de mes bracelets. Au bout de trois minutes, je réussis à ouvrir le premier. Je suis en train de m’attaquer au second quand la porte s’ouvre à nouveau, et une vive lumière inonde la pièce… J’avale difficilement ma salive. Sally vient de réapparaître… Mon Dieu qu’elle est belle ! Et putain, elle a l’air fumasse… * À peine suis-je entrée que mon regard se braque sur le poignet libéré de David. J’enrage instantanément. — Qu’est-ce que tu fais ? fulminé-je. David prend un air terriblement coupable. Et en même temps, il a l’air fasciné, comme un papillon attiré par la lueur d’une lampe. Tu m’étonnes, avec ce que je lui ai réservé comme tenue… Je referme brutalement la porte derrière moi, les sourcils froncés, et j’avance jusqu’au lit. David m’observe intensément. Je sais maintenant exactement à quelle sauce je vais le manger… ce n’était pas évident, au début. — Je t’avais demandé d’avoir confiance en moi, grogné-je.— Oui… excuse-moi Sall…— C’est Lucie ici. Ses yeux brillent d’un feu étrange. — Oui, Lucie, capitule-t-il. Je me penche pour le libérer dans un petit craquement de cuir qui plie. La respiration de David s’est accélérée, tandis qu’il me dévore du regard. Ma guêpière de cuir noir, à laquelle sont attachés mes bas couture couleur chair par des crochets de porte-jarretelle, semble l’hypnotiser… Il est vrai qu’il ne m’avait encore jamais vue comme ça. Moi, ça m’amuse, ce genre de tenue… toujours. De là à dire que ça m’excite, ...