1. Adjointe dans tous les sens : chapitre 1


    Datte: 09/09/2017, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail pénétratio,

    ... rapides, de la main droite, approchant les doigts pour caresser ces lèvres brûlantes et trempées, sentant la dureté du clitoris gonflé, ce qui fit soupirer Marie, la bouche grande ouverte. Celle-ci ne s’était pas rendu compte que durant ce bref laps de temps son chef avait complètement ouvert son pantalon. Au moment où celui-ci tomba à ses pieds, il embrassa son assistante à pleine langue, puis descendit à nouveau entre ses seins. Charles en profita pour baisser rapidement son caleçon de la main gauche, ce que Marie remarqua cette fois, libérant un gros membre, dur, décalotté, avec une extrémité gonflée et brillante d’excitation. Cela faisait peut-être ainsi 2 min 30 s ou peut-être trois minutes au maximum que Charles avait embrassé Marie pour la première fois. Il décida de finir la partie sans perdre de temps, de peur qu’elle ne reprît ses esprits : tout en continuant à lécher et embrasser ces masses chaudes qu’il vénérait déjà, il écarta un peu plus les jambes de son adjointe et saisit son membre de la main droite… Marie sentit alors cette dureté – ce qu’elle savait être le gland gonflé – se positionner à l’entrée de son vagin, et deux secondes plus tard, en deux étapes, elle le sentit taper au fond de sa caverne trempée et brûlante, le geste arrachant un cri aux deux amants. La jeune femme se redressa sur ses coudes pour contempler la situation. Charles oublia alors toute notion de caresse et d’embrassade : se redressant complètement, son bassin collé à Marie, il lui ...
    ... redressa légèrement les jambes tout en les pliant un peu, les attrapant par le dessous des cuisses. Virilement, il commença alors une série d’allers-retours, sortant presque entièrement pour rentrer violemment, arrachant un craquement au bureau et de petits claquements de ses bourses contre le bassin de la jeune femme qui haletait, la bouche ouverte et les yeux mi-clos. Marie sentait ce sexe dur en elle se mouvoir, lui faire tourner la tête, taper, rentrer, sortir, si virilement… Le sentiment d’interdit ajouté à l’excitation réelle, au côté bestial, rendait cette situation jouissive et lui ôtait toute capacité de raisonnement ; elle se redécouvrait sexuellement, bien que tiraillée par la honte. Charles, lui, était aux anges, le côté excitant de monter sa directrice adjointe ne faisait que décupler la sensation de son membre dans le fourreau brûlant, donnant des coups de reins toujours plus violents. La position, qui lui faisait dominer la scène, et le fait qu’il ait pris l’initiative depuis le début, lui donnèrent la liberté de se faire plaisir au sens large : abandonnant une cuisse pour caresser les fesses douces puis le pubis, jouer avec le clitoris gonflé, et remonter vers ces mamelles pointues tournées vers le plafond. Il en admirait d’autant plus la belle robe de Marie, et pour ajouter un côté encore plus excitant, la remonta un peu en la repliant jusqu’à la base des seins. Elle recouvrait à présent intégralement le ventre, mais c’était tout. Le claquement des peaux ...
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