Adjointe dans tous les sens : chapitre 1
Datte: 09/09/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
pénétratio,
... lumière ne part que dans cette direction, n’éclairant que le meuble en fait, laissant le reste de la pièce encore un peu dans le noir. La scène était malgré tout presque complètement éclairée. Le bureau, dont les affaires étaient poussées à son extrémité quand elles n’étaient pas tombées sur le sol, portait la belle femme, appuyée sur ses coudes, les fesses à même le meuble, les mamelles à l’air, ses mamelons roses aux pointes encore dures, les jambes écartées présentant son sexe poilu avec deux jolies lèvres roses dégoulinant sur le bureau, et qui faisaient face à un membre rouge encore un peu rigide dont pendaient quelques fils de sécrétions. Au milieu de tout cela, la robe noire, si belle et raffinée, couvrant ce corps magnifique du dessus du sexe jusqu’à la base des seins… En prenant cette route du sud vers le nord, en remontant on suivait le parcours de la giclée : sur la toison, quelques petites gouttes solides. Sur le ventre, en plein sur la robe, deux gros impacts denses et blancs qui se maintenaient en place. Sur et entre les seins, d’autres petits impacts à la consistance variant de l’un à l’autre, et une goutte transparente et bien liquide qui coulait sur le côté du ventre… Reprenant ses esprits, la chatte en feu mais animée par un étrange sentiment, mélange d’excitation, de honte et de gêne, Marie ne voulut pas que cela se finisse comme cela ; elle aurait juste voulu qu’il se couvre pour finir. Cette fin était vraiment abrupte et tout aussi impensable que l’acte ...
... en lui-même. Les sens désorientés par le plaisir en avaient décidé autrement. Peut-être même, se dit-elle, qu’elle aurait mis un terme à l’ébat. Elle descendit rapidement du bureau et commença rapidement par remettre sa robe en place, tournant le dos à Charles par un semblant de pudeur, le haut d’abord, presque instantanément, puis remonta son string sous le regard en coin de Charles qui regardait à la lumière ce beau postérieur blanc sur lequel se détachait le joli string noir en dentelle. Dans le même temps, il avait attrapé une boîte de mouchoirs sur le coin du bureau, qu’il tendit maladroitement à la dame. Celle-ci, en la prenant, se dit« Garde la tête haute ; rappelle-lui que c’était assumé. » Elle en tira un mouchoir et s’essuya rapidement pour enlever les grosses taches sur sa robe alors que l’homme remontait son pantalon. Les mouchoirs finirent très rapidement dans la corbeille à papier. Attrapant sa veste sur le canapé, Marie l’enfila pour masquer ses vêtements souillés et la ferma. Sur un simple « À demain », elle ouvrit la porte et sortit du bureau. Traversant le couloir puis la salle d’accueil dans laquelle se trouvaient encore de nombreux convives, elle poussa un soupir, encore haletante, souriant aux quelques personnes qui lui disaient au revoir. Sur le parking, elle sauta dans sa petite BMW pour rentrer chez elle. Elle souffla, puis démarra le moteur. L’horloge du tableau de bord affichait 21 h 30. Fixée sur sa conduite, faisant attention car un peu pompette, ...