Lydia avoue son aventure à son mari
Datte: 09/09/2017,
Catégories:
fh,
fbi,
couple,
extracon,
amour,
BDSM / Fétichisme
init,
ecriv_f,
... concentre sur le souvenir de ses mains qui ont touché, étreint, titillé ses seins, de ce doigt téméraire qui a pénétré son anus sans retenue. — Ça va ? Tu as l’air pensive ? Tu as un souci au boulot ?— Non, non. Tout va bien. Je voulais juste… euh…enfin, je voulais te dire… euh… je ne sais pas par où commencer… Cet après-midi, j’ai rencontré quelqu’un. Le sourire de Samuel a laissé place à un regard perçant et noir. — Qu’est-ce que tu dis ?— Non, ce n’est pas ce que je voulais dire, ce n’est pas dans ce sens-là. Tout va bien entre nous. Excuse-moi. Non, j’ai rencontré une femme. Une jeune femme.— Et alors ?— Nous avons fait l’amour. Samuel part d’un grand éclat de rire. — Tu veux me faire croire que tu es rentrée plus tard parce que tu avais rendez-vous avec une femme ! Très drôle comme blague, mais ça ne marche pas. Ça pourrait être excitant, pourtant, de t’imaginer avec une femme, mais de là à croire à ce fantasme !— Je ne rigole pas du tout, Samuel. Elle s’appelle Camille, elle a vingt-deux ans et elle m’a fait l’amour. J’ai pris un plaisir immense. Au ton et au regard de Lydia, Samuel comprend qu’elle ne plaisante pas du tout. Il arrête de rire, arrête même de sourire. Ses yeux se sont éclaircis et ses traits détendus. Un silence s’installe. Lydia se dit qu’elle n’a pas été très douce, et que les choses auraient pu être mieux amenées. Elle se demande si elle n’a pas d’un coup brisé tout ce que leur mariage a construit en quinze ans. Elle commence alors, d’une voix ...
... suave et déterminée, le récit de sa fin d’après-midi : le café, la terrasse, Camille se masturbant à la fenêtre, sa visite chez elle, et leurs étreintes. Après ses explications, comme Samuel ne dit toujours rien, elle s’approche de lui, le regarde fixement et en posant sa main sur sa joue, lui demande de bien vouloir dire quelque chose. N’importe quoi. Qu’elle sache au moins s’il est fâché ou non. Mais Samuel, dans un faible sourire, ne fait que soupirer qu’il ne sait que penser et qu’il ne voit pas ce qu’il pourrait lui dire. Sans un détail qui pourrait aider Lydia à savoir si son aveu a vexé, froissé, fâché son mari, Samuel se dirige vers la chambre, se déshabille et se met au lit. Lydia n’en revient pas. Aucune réaction, la neutralité totale. Elle suppose que cela ne laisse rien présager de bon. Elle suit Samuel dans la chambre et se blottit contre lui. Elle le rassure, lui explique que cela n’a rien à voir avec lui, que tout s’est passé sans préméditation et qu’elle est contente d’avoir fait cette expérience. Toujours rien, silence radio. Lydia, à court de mots doux et réconfortants, et en désespoir de cause, commence à masser son mari qui lui tourne toujours le dos. Il ne la repousse pas. Confiante, elle s’applique dans ses caresses et presse sa poitrine contre lui. Croyant percevoir de son homme un soupir de satisfaction, elle passe ses mains de l’autre côté de son corps et flatte maintenant son torse bombé et velu. Elle appuie son menton sur son épaule et lui souffle à ...