1. Drague dans le métro (6)


    Datte: 16/10/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    La rame arrive au terminus et tout le monde descend. Les filles et les mecs sortent ensemble, mais j’ai l’impression que quelque chose a changé. Pour notre part, nous reprenons le métro dans l’autre sens pour trois stations. Comme nous n’avons pas de temps à perdre, je me jette sur Jérémy dès que nous sommes dans le wagon. Il est vide, j’enlève mon tee-shirt et je lui enlève complètement son pantalon de jogging ainsi que sa veste. Je veux le voir à poil, il se laisse faire gentiment. Pauline fait exactement la même chose avec Gabriel, elle enlève aussi son tee-shirt. La rame démarre, je le caresse, lèche sa bite qui prend tout de suite une forme très intéressante. Je m’appuie sur un des deux ventaux de la portes d’en face, Pauline fait de même sur l’autre ventail. Nous sommes tous les deux côtes à côtes, nus, appuyés sur les ventaux d’une porte de métro qui ne cache rien. Nous ne cachons rien à personne. Pierre nous badigeonne un peu le fion. Gabriel se positionne en s’enfonce dans Pauline lentement mais d’une manière continue. Je vois ses cuisses toucher les fesses de Pauline, il la possède complètement. Jérémy présente son gland sur mes fesses. Il pousse, sa tête chercheuse écarte mes fesses, ouvre ma rondelle comme une fleur et s’enfonce jusqu’à la garde. Il me pistonne violemment, encore une fois, j’ai le souffle coupé, mais je ne donnerais ma place pour rien au monde. Je suis comme un fou, mon cul m’envoie des messages de plaisir intense, mon cerveau a abandonné depuis ...
    ... longtemps, ça fait un bon moment que je ne pense qu’avec mon cul et pour mon cul. La rame s’arrête à Bérault, mais ni moi, ni Jérémy ne songeons un seconde à interrompre le charme. Il continu à me besogner malgré la présence d’une dizaine de personnes sur le quai et de six ou sept personnes sur le quai d’en face. Une femme nous remarque, je vois son regard devenir perçant. Elle ouvre de grands yeux, mais son expression ne me parait pas être hostile, je vois plus d’admiration que de réprobation dans son regard. Elle doit rêver de pouvoir faire la même chose. Nous sommes tous les deux secoués comme des pruniers par nos baiseurs, ils veulent en finir au plus vite, le temps presse. Jérémy se vide en moi en quatre jets puissants, il a encore de la ressource, mais Gabriel n’a pas encore joui. Ça vient une minute plus tard. Quelqu’un pose la couverture sur le sol, j’y allonge Pauline et me pose sur elle en soixante-neuf, nous pouvons nous aspirer mutuellement. Nous arrivons à Saint-Mandé. La rame s’arrête, la porte s’ouvre. Je vois un homme qui est sur le point de rentrer, mais quand il voit un couple en soixante-neuf sur une couverture au milieu du wagon et deux noirs nus la bite encore à l’horizontal, il fait demi-tour et va prendre un autre wagon. La porte se ferme et la rame repart. Il est temps de s’habiller, nous descendons à la prochaine. Quand la rame s’arrête à Porte de Vincennes, tout le monde descend. Pas mal de monde est descendu à cette station. Nous marchons, Pauline et ...
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