C'est dans un spectacle que je l'ai rencontrée. (2)
Datte: 18/10/2019,
Catégories:
Hétéro
... as quel âge, salope? — 24. — Et tu n’as jamais baisé avec un vieux? — Non, le plus c’est avec des mecs dans la quarantaine. — Et c’est qui que tu préfères? — C’est toi mon salaud, elle est trop bonne ta queue, trop belle, et tu t’en sers comme un dieu. — Attends, je n’ai pas fini, papy va t’embrocher ma petite fille, comme aucun de tes jeunes amants ne l’a jamais fait. Je me déchaine dans son ventre, la bourre, la remplis de tout mon sexe. Ses orgasmes s’amplifient, se multiplient, et elle gueule sa jouissance. Je soude mes lèvres aux siennes pour la faire taire, et crains aussitôt sa réaction. Les putes n’embrassent pas, mais elle oui; c’est vrai que ce n’en est pas une, juste une salope. Elle passe ses bras autour de mon cou, sa langue pénètre ma bouche, et on s’embrasse fiévreusement tandis que je la baise de plus en plus fort. Elle relève ses jambes et croise ses pieds sur mes reins, comme pour une deuxième accolade: — Ca te plairait que je sois ta petite fille? — Oui, j’aurais plein d’occasion de te faire l’amour. Et toi ça te plairait? — Oui mon papy, je viendrais te voir le plus souvent possible, quand mamy ne sera pas là. — Salope de petite fille, je t’aime. — Je t’aime moi aussi mon salaud de papy, mais c’est surtout ta grosse queue que j’aime. Baise moi, baise moi papy chéri, je suis ta petite salope, la petite pute à son grand père. -Tu m’excites ma petite cochonne, tu es aussi vicieuse que moi, tu mériterais bien d’être ma petite fille! — Oui papy, j’ai de qui ...
... tenir. Je veux être ta pute, ton garage à bite, ta vide couilles. — Tu me chauffes trop petite putain, embrasse moi encore salope et puis je vais me retirer. On a continué à baiser tout en discutant, et maintenant je la pilonne dans un baroud d’honneur avant de me retirer, tout en lui roulant des pelles voraces. Je me dégage et reste quelques instants sur le dos, sans bouger, pour me calmer et ne pas éjaculer, pas encore. C’est bon, l’adrénaline est passée, et elle s’est déjà placée, prête pour un 69, attendant mon top départ. Je me tourne vers elle et enfouis ma gueule au creux de ses cuisses, tandis que je sens mon sexe disparaître dans sa bouche. Elle est trempée, couverte de mouille, extérieur et intérieur, je bouffe tout et elle me réalimente de ses orgasmes sans fin. Ma queue aussi était nappée de son jus de femelle, elle a tout nettoyé, puis me suce, me gobe, me pompe pour me faire jouir. Elle y parvient et je décharge sans retenue dans sa bouche assoiffée. Elle garde mon foutre et continue à me turlutter jusqu’à ce que je débande. Elle avale alors tout, et me nettoie avec autant d’application que je la nettoie. On se redresse, on s’embrasse tendrement à pleine bouche, puis on se couche et éteint la lumière. Elle me tourne encore le dos et je viens contre elle: — Ca a été ma chérie? — Oui, super, c’est pas souvent que l’on me baise aussi bien. Et toi, ça t’a plu? — Oui, tu es géniale. Tu as les deux meilleurs orifices que l’on ne m’a jamais offerts. — Merci, mais tu n’as ...