L'hopital psychiatre (1) - Histoires de Sexe

L'hopital psychiatre (1)

... décidé de le modifier un peu. — Comment ça ? — Au lieu de vous pénétrer par le vagin, ils vous enculeront. Vous avez éprouvé beaucoup de plaisir hier par là. — Qu’en savez vous ? — Voyons Clémence, toutes nos pièces, y compris le placard à balais sont munis de petites caméras. Je déglutis. — L’avantage, reprend t-il, de la sodomie c’est qu’il n’y a pas de barrières anatomiques comme avec le vagin. Le vagin à une taille et une profondeur bien défini, tandis que les entrailles tout peut y rentrer ou presque. Ce sera donc le programme d’aujourd’hui. J’espère que le test sera plus concluant. J’y rajoute également une petite variante, ce ne sera pas un gode qui sera dans votre chatte, mais le pénis de l’infirmier que vous avez l’air de tant apprécier. Nous lui donnerons du viagra pour être certain qu’il restera en parfaite érection. — Pourquoi, si ce qu’il à fait est mal, l’autoriser à me pénétrer. — Oh bien disons que c’est un dernier avant gout. Le conseil l’a condamné à porter une cage de chasteté pendant les 6 prochains mois. L’infirmière va vous apporter un plateau repas, de la nourriture consistance cette fois ci. Puis elle vous lavera et vous accompagnera au sous sol. A tout à l’heure. Une fois mon plateau repas avalé, douchée et propre, je suis à nouveau dans cette pièce sombre et chaude. Sur la crois de saint andré, l’infirmier est déjà attaché, la bite en érection. L’infirmière me demande de me coucher à plat ventre sur lui. Puis elle saisit sa queue et l’enduit de ...

... lubrifiant avant de me la rentrer dans la chatte. Je ne suis pas du tout mouillée, donc ce n’est pas très agréable. Elle me passe ensuite le bandeau sur les yeux, puis me mets le bâillon gode. Enfin elle m’attache fermement à l’infirmier, si bien que je me retrouve empalée sur sa queue sans espoir de bouger. L’idée m’excite et je commence à mouiller. Je contracte ma paroi vaginale pour le sentir encore plus. C’est un peu mon moyen de communication avec lui, car lui non plus ne peut pas bouger. L’infirmière m’enduit ensuite généreusement la rondelle de vaseline. Puis j’entends la porte s’ouvrir. Je sais ce que ça veut dire. Je sens immédiatement une pression sur ma rondelle. Aujourd’hui il n’y a pas de préliminaires. Le gars pousse de plus en plus, mon anus résiste faiblement puis cède. Sa matraque s’enfonce un peu plus en moi, jusqu’à la garde. Je suis empalée des deux cotés. Incroyable comme sensation. Bien que j’ai un peu mal, ma douleur est vite oublié et laisse place à beaucoup de plaisir. Le gars prend vraiment son temps, il rentre, il sort, il rentre à fond, il sort complètement. Ce petit jeu m’existe. Le traitement dure, mon plaisir monte, je jouis, il éjacule presque immédiatement dans mon anus. La sensation de liquide chaud dans mes entrailles me provoque un deuxième orgasme. Un autre prend sa place, son anus est dilaté et pourtant il a du mal à rentrer. Il force et moi je pousse un max sur sa queue. J’ai remarqué que ça va mieux comme ça. Finalement il finit par rentrer, ...