1. Fuir, ne pas revenir


    Datte: 19/10/2019, Catégories: fh, fhh, hplusag, profélève, fsoumise, hdomine, facial, Oral double, fsodo, sm, f+prof,

    ... fermer la porte, il m’a lâché « Garde les clés. Fais comme chez toi. Tu peux rester tant que j’ai envie de toi. Salut. » Voilà. Comme une pute. En échange de mon corps mis à sa disposition, j’avais droit à un appartement assez cossu, fonctionnel, bien équipé, bien situé. J’ai passé des mois terribles. À chaque fois que je décidais d’arrêter, je me dégonflais au dernier moment. Je voulais tenter, encore une fois, une dernière fois, qu’il me donne de la tendresse. Et parfois, on y était presque. Un soir, après m’avoir baisée comme un fou, il s’est endormi sur le lit. Je savais qu’il devait rentrer chez lui mais j’ai attendu un peu. Je l’ai caressé doucement, partout. J’ai léché sa peau, sucé ses tétons, puis j’ai passé ma langue sur ses lèvres qu’il a entrouvertes. Il m’a laissée l’embrasser et m’a prise dans ses bras. J’ai cru qu’on allait faire l’amour, normalement. Il a même caressé mon dos et mes fesses avec douceur, puis il a serré mon cou, tout doucement au début, et de plus en plus fort. Il s’est remis à bander, et s’est déchaîné. J’étais au bord de l’asphyxie pendant qu’il me ramonait sans lâcher mon cou. Puis au moment de jouir, il est sorti rapidement pour me mettre sa queue dans la bouche et me cracher dedans. Tu parles d’une tendresse ! J’ai mis dix minutes pour reprendre mon souffle, et dix autres pour accepter l’idée que j’avais adoré ça, quand même. Mais il était déjà parti rejoindre sa femme, qui elle, sans doute, bénéficiait de cette tendresse dont j’avais ...
    ... tant besoin. J’ai accepté, tout accepté. J’ai fini par ne même plus essayer de l’attirer contre moi. J’éprouvais à chaque fois qu’il me prenait une sorte de plaisir morbide. Je jouissais très fort, et l’instant d’après j’avais honte de moi. Mais j’en voulais encore. Une fois, il est arrivé à la garçonnière avec un mec que je ne connaissais pas et une femme d’âge mûr un peu ivre. Ils devaient sortir de boîte, il était 2 heures du matin. La veille au soir, je l’avais attendu, sans savoir s’il allait me venir me sauter ou pas, et j’avais fini par m’endormir. Quand j’ai entendu la porte, j’ai cru que j’allais y passer, et j’en mouillais déjà. Mais en les voyant tous les trois, j’ai eu un haut-le-cœur. La femme avait l’air d’une pute, et le mec n’arrêtait pas de lui caresser le cul. Ça la faisait rire. Hector a sorti une bouteille de vodka et a servi quatre verres, dont un qu’il m’a tendu sans me dire un mot. Son regard était dur, directif. J’ai compris qu’il fallait que j’accepte. Que j’accepte quoi ? Je n’en savais rien. Le mec s’en enhardi avec la femme qu’il a déshabillée rapidement avant de sortir sa queue de son pantalon pour la prendre sur le canapé. Hector regardait, un verre à la main, jusqu’à ce qu’il fasse lui aussi tomber son froc pour aller se faire sucer par la pouffiasse délurée. Je n’en croyais pas mes yeux : ce salaud n’en avait rien à foutre que je sois là ou pas. Pas un regard, pas une attention. Ce qui l’intéressait, c’était la femme offerte devant lui, que son ...
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