1. La soirée n'aurait pas dû être celle là (1)


    Datte: 19/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Magali me tira de mes pensées qui devenaient irritantes. - Tu veux rire, non ils ont croisé de jolis petits culs et ils courent après ! j’en suis certaine ! Elle me rendait le sourire par sa réflexion. Et je lui demande : - Bon que fait on avec les quatre zigotos ? - Je te propose qu'on gagne du temps, en leur demandant de nous faire danser et de nous offrir d'autres bulles, mais je t'avoue qu'ils m'ont pas mal excitée et j'ai une grosse envie de baiser, suis pas comme toi qui a un homme pour te combler, moi suis en manque. - D'accord, et si dans demi heure les garçons ne sont pas là, on se tape les zigotos. Patrick m'a dit de ne pas être sage et je ne vais pas l'être ! La sono crache une musique genre zouk, comme Magali je vais chercher pour danser un de mes admirateurs, j'invite celui avec lequel je n'avais pas danser. Je me love dans ses bras, je m'aperçois rapidement que la danse n'est pas son fort. Je me colle à lui, j'arrive à imprimer la cadence, je frotte même mon bassin contre le sien, je sens sa main glisser sur mes fesses, notre danse devient plus sensuelle, il me caresse mon fessier sans fausse pudeur. A la fin du morceau, je retrouve celui qui m'a fait danser les rock, avec lui, nous sommes de suite dans le rythme. Il a d'autorité posé sa main sur mon postérieur et son autre main vient parfois caresser mon sein, contre le bas de mon ventre je sens grossir son excitation. Sur mes fesses la main descend sur le haut de ma cuisse avant de remonter sur mes fesses ...
    ... en retroussant ma robe offrant ainsi la vue de mes fesses au consommateurs du comptoir. Cela aurait dû m'offusquer, mais au contraire une pointe d'excitation enfle au bas de mon ventre et au lieu de le réprimander je soude ma bouche à la sienne pour un baiser passionné. Ses doigts glissent le long de ma raie pour finir sur ma fente agaçant divinement mon clito au travers du fin voile du string. Je ne peux retenir un oui de plaisir que je prononce juste en décollant mes lèvres des siennes. Son autre main dénude mon sein et s'amuse à me torturer voluptueusement le téton, une de mes mains part à la découverte de ses fesses alors que l'autre enserre sa nuque. Le morceau s'achève, et je me décolle de mon cavalier en lui disant : - J'ai soif, j'aimerai bien boire encore du champagne. - Va t'asseoir, je vais commander une autre bouteille. Comme je rectifie mon décolleté sur mon sein, il arrête mon geste en me disant : - Non laisse ton sein visible il est si beau ! - Ca t'excite de m'exhiber à tous ces mecs qui sont au comptoir. - Ouai, et toi ça n'a pas l'air de te déplaire. Il se dirigea vers le bar et moi je retourne à notre banquette à moitié dépoitraillée rejoindre mon autre cavalier. Arrivée devant lui, je me mets à califourchon sur ses cuisses et soude ma bouche à la sienne, nos langues entrent en danse aussitôt, j'attire une de ses mains sur mes fesses et de lui même pose son autre main sur mon sein dénudé, il caresse de suite avidement mes globes charnus. Je frotte mon ...
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