1. Post-divorce - épisode 22


    Datte: 19/10/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Inceste / Tabou

    ... Kahba ?Je m’éloigne, rouge de honte, sous les regards moqueurs ou clairement hostiles pendant que l’imbécile lève son pouce en signe de victoire et me fait un clin d’œil. Trouver l’Astaro n’est pas compliqué. J’hésite une fois devant mais je me lance. Un gros type à la bouche lippue et au regard goguenard m’accueille à la caisse.- Première fois ?- Oui.- Pas « d’action » dans les vestiaires : il y a le sauna et les dépendances pour ça, ok ?- D’accord.Il ouvre mon sac « pour raison de sécurité » et prend son temps de bien détailler le contenu du plastique que Kamal m’a confié. Il me le temps et quand je vais pour le récupérer, il ne le lâche pas de suite mais dit en adoptant spontanément le tutoiement de l’Alpha :- Tu devrais trouver ce que tu cherches en bas mais si c’est pas le cas, reviens me voir : tu seras pas déçu…Ça donne le ton.Il me donne une serviette et des claquettes. Je sens son regard sur ma nuque quand je remonte le couloir et descends l’escalier qui mène aux vestiaires. Ça n’a rien de l’endroit miteux auquel je m’attendais à trouver avec Kamal. De fait, le prix de l’entrée – sans être excessif – reste suffisamment significatif pour filtrer la population. Il y a un vestiaire par sexe. Au moment où je vais pousser la porte des hommes, un travesti sort de chez les femmes. Plutôt réussi. Il me fait un clin d’œil et s’éloigne en chaloupant du cul.Le vestiaire ressemble à ce qu’on trouve dans les salles de sport avec des casiers au mur. Sans que ce soit compliqué ...
    ... pour en trouver un de libre, j’estime qu’il y a déjà pas mal de monde présent. Six types sont en train de se déshabiller. En dehors d’un couple de trentenaires barraqués très « gay » avec leurs barbes taillées courtes et leurs tatouages tribaux, ce sont « des vieux et des gros moches » comme dit Kamal. Un quinquas gras et velus mate les alentours comme s’il faisait son marché en se tripotant la bite sous sa serviette, assis sur un banc. Les trois autres font dans le discret en se déshabillant mais les regards fuyants qu’ils lancent sont déjà lourds de sens.Je joue l’habitué en pliant mon costume et ma chemise. Je reste de dos quand je retire mon caleçon et passe la serviette autours de ma taille. Je bande grave. Je regarde le contenu du sac que Kamal m’a donné : un collier d’esclave avec « KAHBA » marqué, une laisse, un martinet court, un gros plug en métal, des pinces à sein et trois lourds anneaux en acier réglables pour distendre les couilles.Avec tout ça, s’il y a une piscine, je coule à pic !Pour « ma première », je me contente du collier que je garde à la main, c’est bien assez avant de savoir dans quelle galère je suis encore en train de me mettre. Malgré mon érection, j’aimerai bien pisser avant de me lancer. Je pousse la porte à tambour. Un gros mec chauve a la tête dans un urinoir et lèche la céramique pendant qu’un vieux type tatoué aux seins distendus par des anneaux lui pisse dessus. Je bredouille une excuse mais les mecs ne font pas attention à moi.« Pas d’action ...