1. I.S.A.N, une boite qui vous change... (2)


    Datte: 20/10/2019, Catégories: Transexuels

    ... n’était pas boutonné sur les 2 premiers boutons laissant apparaitre le soutien-gorge en dentelle supportant sa lourde poitrine. Quand il entra dans son bureau il eut du mal à rester concentrer. Son esprit était figé sur cette image délicieuse. La voix de Laurène stoppa les rêveries de Julien. — Ah, bonjour Julien ! Tout en parlant, elle se leva et se dirigea vers lui. Elle était magnifique dans cette tenue. Ses cheveux blonds ondulaient sur ces épaules. Ses talons de 7 cm, lui affinait encore plus ses jambes qui étaient déjà parfaite. Elle posa sa main sur son dos en lui faisant deux bises chaleureuses sur les joues. Ce contact fit comme une décharge électrique à Julien, ce qui lui provoqua une érection immédiate. Cela faisait tellement longtemps qu’il avait été loin des contacts charnels qu’il était devenu hyper sensible. Une bosse se forma dans son pantalon. Il eut un moment de doute se demandant si Laurène s’en était rendu compte. — Que puis-je faire pour toi ? Gêné, il ne savait pas comment exposer le sujet du code vestimentaire. Puis il se lança : — J’ai remarqué que tout le monde était habillé de la même façon. Y a-t-il un code vestimentaire ? Laurène répondit sur un ton un peu surpris : — Oui pourquoi ? D’un air encore plus gêné — En lisant le contrat je n’ai rien trouvé lié à cela. — « Tu as du mal le parcourir, le contrat me semble pourtant assez clair à ce sujet. Mais comme mentionné, ne t’inquiètes pas, nous laissons tous les nouveaux arrivants une semaine pour se ...
    ... mettre en conformité. » Répondit elle avec un grand sourire. — « Mais qu’en est-il pour les hommes ? Il n’y a des références qu’a des vêtements de femme» s’inquiéta julien. Laurène recula d’un pas et fronça les sourcils. — Comment cela tu sous entends que nous soyons sexiste ? je suis offensée et blessée par tes propos ! — Non, non vous, vous méprenez, je dis juste que vous n’avez pas précisé la tenue adéquate pour un homme. — « Oui c’est bien cela ! » Elle devint rouge de colère, comme si je venais de l’insulter. « Tu nous considère comme des myosines c’est ça ! Nous avons justement mis ça en place pour faire en sorte que tout le monde se semble faire partie d’un tout, d’une grande famille. De notre grande famille. Et voilà que tu veux remettre cela en cause !? Julien était estomaqué devant autant de colère et de répartie devant ce simple oublie. Il ne savait plus quoi dire. Laurène ajouta : — Soit tu te plis aux valeurs de l’entreprise qui nous sont chères, à savoir le partage, l’équité et l’uniformité ou alors tu t’en vas ! mais tu t’en vas tout de suite et en nous réglant les pénalités de rupture de préavis ! La colère de Laurène avait ameutée quelques salariées dans le couloir. Cette présence mis encore plus mal à l’aise Julien. — Des pénalités ? répondit julien, comment ça ? — Oui pour toute rupture du contrat dans les 2 premières années tu dois à l’entreprise 250000€. — Mais je ne les ai pas ! rétorqua julien affolé. — Je m’en moque répondis Laurène, quand on attaque ...
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