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Le plaisir à l'école
Datte: 09/09/2017, Catégories: f, fh, ff, école, fsoumise, fdomine, contrainte, revede, fsodo, jouet,
... la directrice ? Réfléchis… Qu’est-ce-que tu t’attends à voir ? C’est pas aujourd’hui que tu auras des réponses à tes questions. Sois patiente. » Je suis sur le point de faire demi-tour quand je reçois un signe. De qui, de quoi ? J’en sais rien, mais ce masque de tigresse n’est pas là pour rien. Je l’enfile et passe la tâte dans l’entrebâillement de la porte. Ma témérité est récompensée au-delà de mes espérances. Estelle est à califourchon sur un homme. Elle me tourne le dos. Je me déplace un peu pour tenter d’en voir plus, mais je n’aperçois que les jambes du mec, un peu de son torse et sa queue qui apparaît et disparaît au rythme des mouvements de bassin de sa cavalière. Je n’arrive pas à savoir comment sont positionnés ses bras. Sont-ils attachés au-dessus de sa tête ou occupés à peloter les bonbons d’Estelle ? Amaryllis est à ses côtés. — Tu vas me l’amener.— Je ne peux pas.— Bien sûr que tu peux ; qu’est-ce qui t’en empêcherait ?— Elle va se méfier.— Tu sauras la convaincre, elle aura confiance en toi.— Je ne veux pas.— Je comprends. Tu avais moins de scrupules les autres fois.— C’est pas pareil.— Oh, tu es amoureuse ?— On se connaît mieux maintenant.— Tu sais, je ne t’oblige à rien. C’est vrai que ce ne serait pas très cool de ta part. Oublions ça. Tu n’aimes pas trop jouer avec, de toute façon.— Quoi ?— C’est pas comme si tu étais en train de prendre ton pied. Tu n’auras aucune difficulté à te passer de lui jusqu’à la fin de l’année. De lui et de tes joujoux.— Non, ...
... s’il te plaît, tu peux pas faire ça.— Je ne peux pas, ou je ne devrais pas ?— Je t’en prie.— Je ne suis pas ingrate : tu pourras l’avoir pendant une semaine si tu fais ce que je te dis. À toi de voir.— Je ne sais pas.— Prends ton temps, profite. Qui sait quand il pourra te faire jouir à nouveau ? Amaryllis enjambe le torse du mâle. Son bassin est à hauteur de la tête d’Estelle. Elle relève à peine sa jupe, plus mi-chatte que mi-cuisses. Elle lui caresse la nuque, le cuir chevelu, lui saisit fermement sa crinière rousse et l’attire entre ses jambes. — Lèche. Plus vite ; c’est tout ce que tu as appris depuis plus d’un an ici ? Estelle s’agite de plus en plus vite sur le gros manche. Est-ce que c’est de le voir entrer et sortir en elle ou la peur de me faire surprendre ? Je me sens fiévreuse, tremblante. « La » succube se frotte sur le visage de sa proie. — Pourquoi suis-je toujours obligée de tout faire toute seule ? Estelle s’abandonne en un râle, complètement étouffé dans les lèvres de sa maîtresse. — D’accord, je vais le faire.— Bien. Mon sang ne fait qu’un tour. Le tigre a senti le gibier. Violette, l’acolyte d’Amaryllis, se dirige vers la porte. — Eh, toi ! Qu’est-ce-que tu fous là ? C’est mon masque. « Cours, Forrest ! » Je claque la porte et trace vers l’escalier. J’ai un peu d’avance. Arrivée en haut, je balance le masque et j’entre dans la salle de réception. Je suis essoufflée ; elle va arriver d’une seconde à l’autre. Comment je peux faire ? Je me fais plaquer contre le ...