Un cuisinier pour deux affamées - Histoires de Sexe

Un cuisinier pour deux affamées

... !— Heu… Je peux tout de même vous donner mon avis, les filles ? Tina répond aussitôt : — Je ne crois pas ! Surtout que j’ai envie que tu essayes ça depuis longtemps.— Tiens donc ? Mais depuis quand ?— Depuis que j’ai constaté que tu ne protestes pas quand je mets un doigt dans tes fesses. Valérie ajoute : — Tu n’as jamais pensé que si cela plaisait à des femmes d’être prises par-derrière, ça pouvait te plaire aussi ?— Mais je ne suis pas du tout homo ! Même si j’ai essayé une fois ! En plus, on n’est même pas allés jusque-là. Alors…— Ça n’a rien à voir ! C’est un gode. Si tu veux Rocco, c’est moi qui le fais. Tina proteste : — Et moi, Valérie, je tiens la chandelle ?— Tu l’embrasses ! Ou tu lui donnes ta chatte à lécher. Je pense que ça ne gênera pas Rocco, vu la façon dont il tournait sa langue dans la mienne tout à l’heure. Moi je m’occupe de son cul.— Vous ne croyez tout de même pas que je vais vous laisser faire ?— Bien sûr que si, puisque je sais que ça va te plaire. Allez, Rocco. Mets-toi à quatre pattes et donne tes fesses à Valérie. oooOOOOooo C’est la première fois que je suis exposé comme ça, en levrette, avec la figure enfoncée dans les oreillers. Je me sens indécent, mais j’assume : ce soir, c’est « no limit » pour les filles puisque je leur fais confiance pour me faire jouir. Soudain, je sens couler quelque chose de froid entre mes fesses. Ça doit être du lubrifiant. À présent, je sens que l’une d’elles masse mon anus doucement. Curieusement, c’est très excitant ...

... de ne rien voir et d’essayer de deviner ce que font les deux filles pour me donner du plaisir. — Ça va rentrer tout seul ! J’ai bien reconnu la voix de Valérie, mais je ne sais toujours pas si c’est elle qui s’occupe de moi. Cette interrogation me décide à sortir la tête de l’oreiller pour regarder derrière moi. C’est Tina qui tient mes fesses écartées et Valérie presse son index visqueux sur mon anus. Elle appuie de plus en plus fort pour l’ouvrir. Tina a enfin remarqué que je les regardais. Elle lâche mes fesses et se penche vers moi. — Sois tranquille, ça va bien se passer. Tina m’embrasse lentement. Je sens dans les roulements doux de sa langue qu’elle essaye d’être rassurante. Le premier assaut de Valérie avec le gode est trop violent et j’agrippe les draps pour ne pas crier ma douleur. — Vas-y plus doucement, Valérie ! Tu lui fais mal ! Attends un peu. Détends-toi, Rocco. Essaye de relâcher tes sphincters et après, ce sera bon. Je suis son conseil et je constate qu’elle a raison. Au bout de deux essais, le godemiché commence à rentrer. Je sens bien que cette sensation d’avoir l’anus lentement dilaté, ce n’est pas vraiment du plaisir. Mais c’est une sensation très intense qui donne envie de continuer. oooOOOOooo J’ai tout de même l’impression d’être un sous-homme avec le cul en l’air et les mains contre mon visage, comme si je voulais me cacher pour ne pas être pris en flagrant délit de cet interdit masculin. Mais pourquoi donc est-ce interdit ? Quelle obscure raison de ...