1. Un cuisinier pour deux affamées


    Datte: 23/10/2019, Catégories: ffh, copains, amour, fsoumise, hsoumis, entreseins, Oral jouet, champagne,

    ... saisis Valérie par les cuisses et je fourre ma tête entre ses jambes. À voir trembler ses hanches et à sentir la profondeur à laquelle elle enfonce ma queue dans sa bouche, elle doit prendre un pied gigantesque, elle aussi. Et les gémissements rauques qui peinent à sortir de sa bouche font bien comprendre qu’elle devrait hurler autant que moi, si elle ne s’était pas gavée de mon pieu en le forçant à rentrer jusqu’aux couilles dans sa gorge étroite. Il n’y a pas de différence entre nous. Nous sommes tous les trois soumis à la puissance de nos envies de sexe avec un seul but : aller jusqu’au bout de nos pulsions. Je n’en peux plus. Je veux être libéré de ce besoin véhément d’éjaculer que Tina impose dans mon ventre avec son instrument et que Valérie exige en suçant si fort mon pénis. Tina sent dans mes tremblements que je n’en ai plus pour longtemps. — Vas-y, Valérie. Fais jouir Rocco dans ta bouche ! Il adore ça et je te promets que c’est bon ! Valérie redouble les va-et-vient de sa tête en serrant ses lèvres trop chaudes sur mon gland. Je demande à Tina : — Pas de regrets ?— Non. Je sais que tu aimes ça. Et puis je me débrouillerais avec Valérie. Je jouis les dents serrées, en regardant fixement Tina. Tout mon corps vibre ! Je ne veux pas hurler. Je ne veux pas fermer les yeux. Il faut que Tina voie dans mon regard que tout le plaisir qui gicle enfin dans la bouche de Valérie est pour elle ! J’ai du mal à garder les yeux ouverts : Tina presse consciencieusement mes ...
    ... testicules comme si elle voulait en extraire elle-même le sperme et pour être sûre que Valérie recueille dans sa bouche toute ma jouissance jusqu’à la dernière goutte. Valérie pousse des soupirs de satisfaction en m’aspirant un peu plus fort à chaque contraction de mon ventre. Est-elle réellement contente que j’éjacule si fort dans sa bouche ? Je suis épuisé et même si des éclairs douloureux déchirent encore mes bourses, je sais que je n’ai plus rien à offrir. Tina demande : — Valérie ? Cette fois tu m’en donnes ? Tu n’as pas tout avalé, j’espère ? Valérie fait un signe de tête négatif et Tina se précipite pour l’embrasser dans un baiser dévorant qui n’en finit pas. Tina serre le cou de Valérie comme si elle voulait la forcer à dégorger tout son butin de foutre pour l’avaler à son tour. Pourquoi ? Pourquoi ce besoin presque cannibale ? oooOOOOooo Je sens couler ma transpiration glacée le long de mon échine et sur mes tempes où claquent encore les coups de marteau de mon cœur. Ah ! C’est vrai. Il faut penser à reprendre mon souffle pour le calmer. Non, je ne grelotte pas au point de… — Excusez-moi les filles, mais j’ai un problème. Pouvez-vous m’aider ? Je ne sais pas comment on arrête ce machin ! Les deux femmes séparent enfin leurs bouches et me regardent avec de grands yeux étonnés. Elles éclatent de rire quand elles constatent enfin que, dans sa hâte pour partager mon offrande avec Valérie, Tina n’a pas jugé nécessaire d’arrêter le vibreur de son gode, et encore moins de le retirer ...