Étranges premières années de mariage
Datte: 23/10/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
cocus,
inconnu,
oncletante,
prost,
enceinte,
poilu(e)s,
amour,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
jeu,
journal,
Lorsque je croise un couple dont l’homme est nettement plus mûr que la femme l’accompagnant, je ne peux m’empêcher de penser à notre première année de mariage datant d’un peu plus trois ans, en décembre 2001, lorsque Elodie et moi Loïc avions emménagé dans un petit appartement intégré dans une maison individuelle, à Angers. Le propriétaire, un veuf de 51 ans, fut d’abord très réservé lorsque j’avais visité l’appartement qu’il proposait en location car il exigeait des ressources financières élevées, alors que Elodie et moi, bien que très correctement diplômés, gagnions encore peu à l’époque où chacun débutait. J’avais insisté en lui promettant un règlement régulier et lui demandais d’être sympa pour un couple de jeunes mariés. Il a répondu qu’il faudrait que la jeune mariée soit très jolie pour qu’il accepte de nous le louer. Je me doutais bien qu’un veuf relativement âgé, même s’il portait beau, était du genre vieux cochon, et je savais Elodie si belle qu’il ne pourrait qu’accepter. Après tout, me disais-je, si cela lui fait du bien de regarder ma belle épouse, il n’y avait pas de mal à cela. Elodie que j’avais mise au courant s’était habillée très courte, ravie et amusée, et a visité avec moi le logement. Henri, c’est ainsi qu’il s’appelait, avait été subjugué et nous avons signé le bail, la vue des jolies cuisses de ma petite femme ayant produit son effet. Il s’était montré discret au début et nous avons vécu là avec Elodie la folie des premières semaines d’un mariage ...
... pétillant. Nous faisions l’amour comme des fous, jusqu’à épuisement. Elle découvrait vraiment le sexe, après nos trois années d’étude trop studieuses pour nous lâcher, elle aimait cela, était toujours partante et m’excitait violemment car elle ne parlait que de cela, de vive voix, sur nos portables ou dans ses SMS. J’aimais la masturber avec un gros gode en caoutchouc, très veiné et ressemblant, et on délirait sur des folies, des fantasmes tout en s’adonnant sans retenue à notre occupation favorite. Elle entrait dans mon jeu en se disant être ma petite putain personnelle, prête à tout. Petit à petit, Henri se fit plus présent, venant nous saluer le soir en nous apportant notre courrier, discutant un peu autour d’un café. Il n’avait d’yeux que pour elle et cette adorable coquine adorait me piquer en s’habillant courte dès qu’elle rentrait du travail, pour le recevoir craquante à souhait. Il ne cessait de la complimenter, puis s’enhardit en disant en plaisantant qu’en cas de difficultés de paiement de notre loyer, il se payerait en nature sur elle, ce qui la faisait glousser. Dès que la porte se refermait sur lui, je me jetais sur elle, et je la traitais volontairement de tous les noms : elle riait, adorant que parfois je lui parle crûment. On faisait alors l’amour avec fougue, et mon gode que j’appelais à la rescousse devint dans nos fantasmes le pieu d’Henri venant se payer en nature. Ce jeu avait visiblement le don de beaucoup l’exciter, bien plus que lorsque j’attribuais le gode ...