1. Eve (1)


    Datte: 23/10/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    Eve1 Je m’appelle Patrick, j’ai 52 ans et suis divorcé depuis quelques années. Mes deux garçons ne vivent plus à la maison. Ludovic a près de vingt sept ans et vit à Paris, toujours célibataire. Quant à Benjamin, il a vingt-trois ans et s’est marié l’année dernière avec Eve une belle brune, d’un an son aînée. Lors de leur mariage, j’avais été subjugué par la beauté de ma belle-fille dans sa belle robe de mariée. Elle m’avait jeté un petit regard complice mais m’avait ignoré presque toute la soirée. Comme ils habitaient à deux rues de chez moi, il était facile à Benjamin de venir me voir pour des conseils en bricolage ou pour m’emprunter des outils. Je voyais assez peu ma belle-fille et décidait de les inviter à dîner le samedi. Elle ne voulut pas prendre d’alcool, ni à l’apéritif, ni lors du repas. Toutefois elle était enjouée et plutôt rayonnante. C’est vraiment une belle fille, au sens propre! Je regardais, à la dérobée, ses formes moulées dans ses vêtements et l’abstinence sexuelle que je vivais n’arrangeait pas mon désir de la tenir dans mes bras. Quand elle se penchait en avant, je matais ses fesses. Quand elle levait les bras, je regardais ses seins. Un vrai plaisir que cette jeune femme, mais ma belle-fille quand même. Je me devais d’être respectueux à son égard.. Mon fils m’annonça que son épouse était enceinte de près de trois mois. J’étais super heureux et fier, mais lui ne partageait pas le même enthousiasme. Il était un peu renfrogné et son attitude me surprit un ...
    ... peu. Eve était vraiment heureuse et serra sa robe légère entre ses jambes pour me montrer son ventre. Je regardais son corps entier et pas seulement son ventre. Elle s’en rendit compte et réajusta sa robe. Nous avons dînés tous les trois et au dessert, Ben quitta la table pour aller regarder du foot à la télévision. Eve était mécontente et allait faire une remarque à mon fils, mais je posais ma main sur la sienne pour la calmer et lui signifier que ce n’était pas grave. Quand j’ai senti la douceur de sa peau, je n’avais pas envie de retirer ma main, cela dura une éternité de secondes où nous étions liés. Elle se retira lentement, sans quitter mon regard qui pétillait d’admiration pour cette femme, trente ans plus jeune que moi. Elle se leva pour desservir la table et regagner la cuisine. Je la suivais, emportant quelques assiettes. Arrivée dans la cuisine, elle avait posé ses objets mais restait prostrée, me tournant le dos. Je lui ai tenu les épaules pour déposer un baiser dans le cou. Elle frissonna et me laissa déposer un deuxième baiser. Je lui demandai : « Tout ne semble pas aller si bien dans votre couple? Je peux faire quelque chose ? » Elle se retourna et je lui pris les mains dans les miennes, à l’écoute de ce qu’elle voulait me dire. « Patrick, vous savez ? Pour pouvoir être enceinte, j’ai dû pratiquement le violer. J’étais vierge et j’ai dû prendre l’initiative et travailler beaucoup pour qu’il ait une érection ! » « Vous n’avez pas de rapports ? » « Jamais depuis ...
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