Et maintenant un garçon... - Histoires de Sexe

Et maintenant un garçon...

... début du premier slow. Suivant le regard de Marie-Agnès, David lui dit : — Ils sont rapides, tous les deux.— Oui, répondit Marie-Agnès qui, en même temps, se serra un peu plus fort contre David. Celui-ci comprit le message et serra un peu plus Marie-Agnès dans ses bras. Marie-Agnès se laissa aller, elle se sentait bien dans ses bras-là. David lui embrassa les joues puis les lèvres, tout doucement. Marie-Agnès ouvrit un petit peu la bouche et leurs langues purent enfin s’enlacer. Elle était tellement serrée contre David qu’elle sentait ses muscles bouger sous ses vêtements. Elle sentait aussi contre son ventre le sexe de David qui grossissait. Elle sentait la chaleur de sa queue à travers son jean et sa robe, et cette chaleur se communiquait à son ventre puis à son bas-ventre ; son string était déjà trempé… Après quatre ou cinq slows pendant lesquels le temps semblait s’être arrêté, les rythmes endiablés reprirent. Nos quatre protagonistes se retrouvèrent au bord de la piste comme sonnés par ce qu’ils venaient de vivre. David demanda s’ils pouvaient venir chez les filles mais cela n’était pas possible, car Tatie Sylvie était restée à la maison avec des amis. La seule solution était d’aller au camping des garçons. Après dix minutes de marche, notre petit groupe arriva devant LA tente, eh oui, il n’y en avait qu’une, assez grande, certes,…mais seule. Les garçons étaient embarrassés et Marie-Agnès ne savait que dire. Comme d’habitude, c’est Béné qui dénoua la situation. — On est ...

... jeunes, c’est l’été, est-ce que ça dérange quelqu’un qu’on aille à quatre dans cette tente, sachant qu’on ne mélange pas les couples (pour l’instant pensa-t-elle), ça peut être chouette, non ? Le sourire qui illuminait les visages des garçons suffisait comme réponse. Marie-Agnès, bouche bée et voyant trois paires d’yeux tournées vers elle, se surprit elle-même à émettre un "oui". Ils s’engouffrèrent alors dans la tente, les garçons en premier puis Marie-Agnès poussée par Béné qui avait peur que son amie revienne sur son timide acquiescement. Une fois dans la pénombre de la tente, les couples se reformèrent. Béné et Marc étaient déjà allongés sur un matelas pneumatique. David prit Marie-Agnès par la main. Plus aucun mot ne fut échangé. Marie-Agnès vit Marc se mettre sur le dos et Béné s’allonger sur lui. Elle s’allongea à son tour et vit David venir sur elle. Elle ferma les yeux et se retrouva dans les mêmes conditions que pendant les slows. Elle sentit David la couvrir de baisers. Il était doux et attentionné. Rien à voir avec l’autre con de moniteur qu’elle chassa aussitôt des ses pensées. David avait ouvert sa robe, il la faisait glisser le long de son corps. Elle se cambrait pour lui faciliter la tâche. La robe libéra ses seins puis ses hanches. Au passage, David accrocha le string qui poursuivit sa course avec la robe pour finir au fond de la tente. Elle vit du coin de l’œil que Béné avait déshabillé Marc. Elle voyait la tête de son amie s’activer au-dessus du sexe de son ...