Ne jamais oublier de mettre de l'ordre avant de partir ! - Histoires de Sexe

Ne jamais oublier de mettre de l'ordre avant de partir !

... suce-moi ! Christelle me regarda puis posa son regard sur ma bite dressée. — Suce-moi, je te dis ! Tu n’es pas la reine des pipes, salope ? J’ai envie de me vider dans ta bouche. Elle se tut, soumise à ma volonté, se mit à quatre pattes pour mettre ses lèvres au niveau de ma verge, enleva la capote et m’avala. Elle débuta une ode à la fellation. Je la laissai avec délice me gober, bien décidé à lâcher ma semence au fond de sa gorge. Elle semblait en avoir envie aussi car elle utilisa toute son expérience et redoubla d’efforts pour me faire cracher ma semence. — C’est bien, Christelle, hummmm ! Continue comme ça : tu vas goûter mon sperme ; tu es vraiment une sacrée suceuse ! Coup d’œil de ma femelle qui opina dans un grognement et poursuivit sa fellation plus énergiquement. À ce moment, une chose que l’on n’attendait pas : le téléphone posé sur la table de chevet se mit à sonner… Christelle quitta ma verge et poussa un juron en regardant l’affichage : — Merde, c’est mon mari ! Il faut que je réponde, sinon il va me faire chier quand il va rentrer… et puis non : il n’a qu’à aller se faire foutre ! Le mobile continuait de beugler. Je lui ordonnai : — Réponds, allez, réponds : on va bien s’amuser !— Mais vous êtes fou : il va se douter de quelque chose !— Mais non, tu vas voir ; et je suis sûr que tu vas jouir comme une folle. Réponds toute suite, nous allons continuer pendant que tu discutes, salope !— Mais…— Tu n’es qu’une traînée qui me doit obéissance, compris ? Je lui ...

... pris le menton d’une main, la forçant à me regarder : — Oui ou non ? N’oublie pas que tu es ma pute ; alors ?— Oui, tout ce que vous voudrez. Maîtrisée, elle décrocha : — Allô ?— …— Ah, c’est toi… Tu vas bien ?— …— Ça a été, ton boulot ? Tu as déjà fini ? Il est 14 h 30.— …— Tu es où ?— …— Tu ne rentres que demain soir ? Ah, à l’hôtel ?… Tu y es déjà ?— …— Une douche ? Ah bon, vous avez dû pomper une cuve ?— …— Oui, moi aussi, j’ai passé une heure à aspirer ! répondit-elle en étouffant un gloussement.— …— Tu veux… Quoi ?— …— Écoute, ce n’est pas raisonnable !— …— Tu veux vraiment que j’aille dans la chambre ?— …— C’est un peu moyen, tu ne trouves pas ?— …— Bon d’accord, j’y vais.— …— J’y suis.— …— Oui, je me déshabille ; je pose le téléphone et je le mets en ampli, ça sera plus pratique. « La petite salope ! Elle veut que je ne perde rien de la conversation… » — Ça y est, je suis nue. Et toi ?— Comme je te l’ai dit, je suis rentré à l’hôtel ; je sors de la douche et je bande en pensant à toi. Elle prit une voix langoureuse : — Tu veux que l’on fasse quoi ?— J’aimerais que tu te masturbes pour moi au téléphone.— Ce n’est pas raisonnable…— Je t’en prie, je n’en peux plus !— Bon, d’accord.— Mets-toi en levrette et prends le gode que je t’ai offert. « Le con… Elle y est déjà, en levrette ! » Christelle fit mine de prendre l’objet dans le tiroir. — Voilà, chéri, j’ai le gode. Elle tourna la tête. — Caresse-toi le sexe avec, pense à ma bite. En entendant ça, je posai rapidement une ...