Une soirée au parc - Histoires de Sexe

Une soirée au parc

... l'ouverture de mon décolleté. Totalement déconnectée du monde qui nous entourais , je sentais les frissons me parcourir le corps et sa respiration qui s'approchait doucement de ma nuque. Il déposa un délicat baisé , il recommença , toujours plus longtemps. Ses mains parcouraient mon corps, il me caressait de haut en bas. Je ne retenais plus le son de ma respiration et ma tête s'était basculée sur son épaule , les yeux toujours fermés. Plus il me caressait plus je commençais à mouiller ma petite culotte. Une de ses main me caressait mon sein et s'était aventurée jusqu'au téton qu'il pinçait légèrement. Je savais à partir de ce moment qu'il n'était plus possible de faire demi tour . Je repris connaissance et lui fit comprendre par mes mouvements de bassin que j'avais senti son désir qui avait bien grandit. De son autre main, il parcourut ma cuisse et remonta doucement jusqu'à mes fesses. J'étais heureuse d'avoir mis une robe courte et un joli tanga en dentelle. Il n'y avait toujours personne aux alentours, je décida de me lancé car le désir était devenu trop important. Je me suis retournée pour l'embrasser langoureusement. Sa bouche était divine, ses lèvres s'adaptaient parfaitement aux miennes. Tout en m'embrassant, il me prit pour me coller contre le premier arbre qui se trouvait à nos cotés. Le dos plaqué contre le mur, Vincent n'hésita plus une seconde pour me serrer la taille et ainsi me montrer encore à quel point il me désirait. Il eu un moment d'hésitation mais me ...

... demanda tout de même si j'étais d'accord pour continuer. Les mots étaient de trop alors je lui montrai de la plus explicite des façons mon désir réciproque. Je pris sa main et lui laissait libre chemin jusqu'à mon minou qui était trempé d'excitation. Vincent ne mit qu'une seule minute a me toucher, il a ensuite laisser tomber mon tanga jusqu'aux chevilles, j'agenouilla et me passa une jambe sur son épaule. J'eu le droit a un cunnilingus digne de se nom et de sa réputation. Il était tendre au début, me faisait patienter avec quelques coups de langue biens dirigés, puis me prise totalement en bouche. J'avais envie de plus, je voulais le sentir en moi une bonne fois pour toute, je n'ai pas eu le temps de lui dire qu'il s'était remit debout et me tourna, fesses nues, j'étais plaquée face à l'arbre. J'entendis le zip de son pantalon de défaire, je ne l'avais jamais touchée encore, je n'avais qu'une hâte découvrir les mensurations de son engin. Je sentie son doux gland à l'entrée de mon vagin, mouillée comme j'étais, il n'eu aucun mal à s'y introduire. La chaleur de mon corps était montée immédiatement je suppose que le sien aussi car il décrocha un " mon dieu que tu es bonne". S'en suit d'un vas et vient de plus en plus rapide, j'étais de plus en plus cambrée, seules mes mains restaient sur l'arbre. Ses mains me tenaient vivement par les hanches, jusqu'à ce que l'une d'entres elles vienne me caresser le clitoris. Mes fesses claquaient de plus en plus fort, mais il faisait à présent ...