Mystérieuse postière
Datte: 10/09/2017,
Catégories:
f,
h,
fh,
extracon,
poilu(e)s,
forêt,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
Oral
C’est une splendide journée de printemps. J’ai décidé d’aller faire un petit tour à pied, le long de la rivière, ensuite à travers bois. Au détour d’un sentier, je remarque un vélo posé par terre, un vélo neuf, pas un vieux clou. Son propriétaire ne doit pas être bien loin. C’est alors que je perçois un petit bruit juste derrière les buissons. Intrigué et curieux, je m’approche. On dirait comme un râle. Et là : stupeur ! Il y a effectivement une femme, une femme entièrement nue, allongée par terre sur une couverture. Elle est en train de s’adonner au plaisir solitaire. Je vois ses mains qui s’activent rapidement entre ses cuisses. C’est une dame d’un certain âge, au moins la quarantaine, je la connais fort bien puisqu’il s’agit de notre postière, madame Martin, Louise Martin ! Nous avons même été à l’école primaire ensemble. Il y a des gens qu’il est difficile d’imaginer en train de faire l’amour et c’est plutôt son cas. Aussi, je n’en perds pas une miette. J’écarte un peu les feuilles pour mieux voir. Elle est plutôt poilue, madame Martin. Entre ses cuisses, c’est une véritable forêt vierge. Et sous ses bras, c’est la même chose, elle ne s’épile pas plus. Il n’empêche que c’est plutôt excitant de la voir se démener ainsi entre ses cuisses. Elle y met les deux mains. Elle souffle, elle râle, elle gémit. Seule au monde, elle recherche son plaisir sans fioritures. Louise Martin s’est mariée à 20 ans, a divorcé à 27 et, depuis, elle vit seule. Au village, les mauvaises langues ...
... disent qu’elle est attirée par les femmes. Et au bistrot, les alcoolos disent que c’est un bon parti, mais qu’elle est froide comme un glaçon. Pas si froide que ça, si j’en juge par l’intensité de ses caresses. Elle halète, elle grimace car la jouissance approche. Et voici qu’elle se frotte comme une damnée et puis se laisse aller à d’intenses gémissements. Ensuite, elle reste allongée sur le sol, la main entre les cuisses. Elle est belle, comme toutes les femmes après l’amour. C’est un plaisir de la regarder. Elle n’a pas de très gros seins mais ils sont fort bien sculptés. Quant au reste de son corps, elle a un petit bidon et des poignées d’amour, sans doute le résultat d’une trop grande gourmandise. Assise toute la journée à son guichet, elle n’a peut-être pas non plus beaucoup d’activités physiques. Mais la voici qui reprend ses activités, qui recommence à se caresser. Elle en veut, la Louise, elle aime ça se faire jouir. Elle se tripote les seins d’une main et de l’autre l’entrejambe. Le spectacle est très excitant et ça me fait bander. Je sors ma queue et commence à me branler. Ma copine n’en saura rien. Et puis, ce n’est pas tous les jours qu’on voit une femme se masturber, il faut donc en profiter. Elle mouille ses doigts avant de les rentrer profondément dans son antre, elle en veut la postière, elle profite à fond de son jour de repos. Je m’astique en la regardant. Elle est vraiment baisable. Plus que baisable, elle est vraiment bandante. Soudain, elle tourne la tête ...