Un dernier verre
Datte: 28/10/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
hotel,
amour,
volupté,
Oral
pénétratio,
fdanus,
glaçon,
fouetfesse,
... lèvres, puis entre mes dents, juste assez pour te faire gémir de plus belle. Je lape ta vulve à grands coups de langue. Entre ma salive et ta mouille, tu es complètement inondée. As-tu déjà giclé avec ton foutre ? As-tu déjà coulé dans un abandon complet ? Ce serait bien de te sentir couler sur ma queue, m’inondant de ton jus, non ? Mais ce sera peut-être pour plus tard…. Pour l’instant je continue avec ma bouche à te rendre folle, folle de désir, folle de frustration et, surtout, folle de plaisir… Tu es bien écartée et j’ai une vue plongeante sur tes chairs ouvertes et luisantes d’envie. Comme j’aimerais m’enfoncer en toi, là, tout de suite… mais non, il ne faut pas… Je m’allonge sur toi pourtant, te faisant sentir le bout de mon chibre contre tes lèvres ouvertes. Il suffirait d’un tout petit coup de reins pour qu’il entre en toi et te pourfende comme une épée le ferait d’un melon mûr. Car tu es mûre là, mûre d’être pénétrée, prise, assaillie. Mais il te faut encore attendre… Nos bouches se rapprochent, même si tu n’as toujours pas le droit de bouger tes bras, encore moins tes mains, tu peux m’embrasser. Et je sens à la fougue de ton baiser que tu prends beaucoup de plaisir à ce petit jeu. Nos langues mènent une sarabande endiablée et s’enroulent l’une autour de l’autre. Nos lèvres sont soudées et c’est comme si tout notre amour et toute notre envie s’y trouvaient concentrés. Une fois encore, je dois t’abandonner. Je me redresse au-dessus de toi et, ce faisant, ma queue te ...
... pénètre… oh… juste un tout petit peu, juste un court instant, mais assez pour toi (et pour moi, j’en conviens !), pour que tu aies un aperçu de ce que ce sera lorsqu’elle te prendra vraiment et que je te baiserai comme une petite catin… mais tout à l’heure mon ange, tout à l’heure… Je suis maintenant à califourchon sur ton corps et j’ai avancé mon sexe devant ta bouche. "Suce moi, petite chienne ! Prends cette queue dans la bouche et goûte-la. Tout à l’heure, elle te fera hurler de plaisir, quand elle sera au fond de toi. Je veux que tu aies un avant-goût !" Tu ouvres la bouche et me happe avidement ; je sais bien que tu ne te fais pas prier pour ce genre de traitement. Je sens tes lèvres chaudes m’envelopper et je peux voir tes joues se creuser pour bien m’aspirer jusqu’au fond de ta bouche. Ta tête fait des allers-retours dessus et, je l’avoue, tu t’appliques bien. Exceptionnellement, je t’autorise à te servir de tes mains et, là encore, tu ne te fais pas prier. Tu empoignes mon sexe d’une main alors que de l’autre tu agrippes mes couilles que tu masses à l’unisson. La sensation est délicieuse et je dois faire attention de ne pas jouir et t’envoyer tout mon foutre dans la gorge. Je me retire un peu, mais tu ne lâches pas. Comme un animal qui tient à sa proie, tu tiens à avoir ma queue. Tout en la tenant d’une main, tu te mets à la lécher avec ta langue, depuis la base jusqu’au gland que tu agaces du bout de ta langue pointue et vicieuse. Mon corps est parcouru de mille et ...