1. La punition des exhibitionnistes


    Datte: 29/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    C’était un soir d’été, nous avions déjà bien chaud ma femme et moi. Des idées nous trottaient en tête et trouvèrent concrétisation dans le trajet qui nous ramenait de la plage. Cela faisait déjà quelques kilomètres qu’Elo co-conduisait la voiture à l’aide de mon levier de vitesse intime et que je fouillais son petit puit d’amour en alternance avec des caresses sur ses seins que j’avais dénudé. Ceci n’avait d’ailleurs pas échappé à quelques routiers qui nous l’avaient fait savoir. Mais bon, bien que légèrement exhibitionnistes, nous ne sommes pas partageurs, aussi c’est une fois que nous eûmes mis de la distance entre eux et nous que nous décidâmes de nous arrêter sur une aire d’autoroute où nous avions nos habitudes de gentilles exhibitions. En effet celle-ci est bien conçue et il faut vraiment avoir quelque chose de bien précis à faire pour effectuer ce grand contournement et quasiment s’engager dans le sous-bois bien loin du bloc sanitaire. Je coupe le contact et incite Elo à se pencher plus avant sur l’objet de son désir, en profitant pour relever sa robe et caresser sa croupe diabolique. Ce qui est excitant sur cette partie de l’aire de repos c’est qu’il n’y a pas de lumière à l’extérieur, aussi la moindre lumière dans l’habitacle met en évidence ce qui s’y passe alors qu’on ne voit pas forcément ce qui se passe dehors. Ce n’était pas la première fois que nous nous prêtions à ces jeux et, si nous n’avions jamais formellement vu qui se trouvait derrière la fenêtre et ...
    ... les portières bien closes, nous avions bien entendu quelques grognements qui nous laissaient à penser que des bêtes sauvages trainaient dans le coin. Du genre à dire des « ohhhh la saloppe » et à tartiner la vitre d’Elo de bon sperme bien chaud. Reprenons : Elo est à genoux sur son siège, croupe vers la fenêtre et seins à l’air tournés vers moi, en train de me lécher délicatement le bout du gland, avant de m’enfourner en entier dans sa tendre gorge que j’aime tant. Je la doigte obligeamment, ne souhaitant la laisser démunie quand le plaisir sera venu, d’autant que je sens que ça bouge à l’extérieur et qu’il semble que nous intéressions quelque hardi promeneur qui doit bien se rincer l’œil. Quand tout d’un coup un flash ! Oh l’enculé ! Il rompt les codes de discrétion qui président à des moments partagés entre couples coquins et voyeurs délicats : il photographie le cul de ma femme. D’un bond je sors du véhicule furax (après être sorti de la bouche d’Elo), prêt à lui faire effacer ses photos, quand juste au moment où je sors on me fait tourner sur moi-même et on me colle le front contre mon SUV : « attentat à la pudeur sur une aire d’autoroute fréquentée par des enfants, ça va vous coûter cher mon vieux ! »….la douche froide ! Je vois que de l’autre côté un autre gendarme a fait sortir Elo (et oui, j’ai déverrouillé toutes les portes en sortant comme un con), toujours seins nus, et la place dans la même position que moi sans qu’elle ait put se rajuster. « on nous avait signalé ...
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