Valérie : l'insoupçonnée (2)
Datte: 29/10/2019,
Catégories:
Hétéro
... j’aurais quand même essayé de t’embrasser ! Valérie éclate de rire avant de se calmer. — Et pourquoi pas maintenant ? Je n’ai pas à répondre. Elle avance son visage vers moi et nous nous embrassons tendrement. — J’en rêvais depuis le jour où tu es venue signer ton contrat. Valérie sourit. Nouveau baiser. — Moi aussi… Baiser. Long, profond, intense. Mes mains se baladent sur ses flancs, ses bras, ses épaules, sa nuque, son visage, mais je leur interdis sa poitrine. Valérie en est parfaitement consciente. — Vraiment un homme bien. Elle ajoute, malicieuse : — Et je suis agréablement étonnée des efforts que tu fais pour ne pas baisser les yeux sur ma poitrine ! J’éclate de rire. — C’est un vrai tour de force, crois-moi !
Valérie baisse les yeux sur ses seins, écarte les pans de son chemisier et répond : — Il n’y a pourtant pas grand chose à voir. Puis, en riant : — C’est bon, tu peux regarder, je te permets ! Un balconnet mauve sans coques galbent parfaitement une poitrine pas si menue. Le soutien-gorge est transparent. Je souris : — Non seulement il y a à voir, mais qui plus est, il y a tout à voir. Valérie rit et rougit. Elle est gênée et j’adore ça. Je lui dis : — Je parie sur un 90B. — Oh, mais j’ai à faire à un spécialiste, c’est exactement ça ! Nous nous embrassons à pleine bouche. Nos langues roulent, je n’ai plus envie de quitter ses lèvres. Ma main gauche est posée sur son flanc droit. Elle ...
... l’attrape et la remonte à sa poitrine. Tremblant, je la pelote doucement, faisant glisser mon pouce autour de son mamelon que je sens agréablement pointer à travers la dentelle. Je repousse doucement la bretelle afin qu’elle tombe juste de l’épaule dans le but de dégager son sein. Opération réussie. Le souffle de Valérie raccourcit. Je sors l’honorable mamelle et la caresse, pinçant légèrement le téton bien dur. Valérie gémit, son cœur bat la chamade, comme le mien. De sa bouche, j’embrasse son menton, son cou et descend lentement : — Non… Ce n’est pas bien… Il ne faut pas… hsrhzzlq J’hésite, mais cela sonne faux. Je descends encore sans qu’aucun geste ne stoppe le mouvement. Le mamelon glisse entre mes lèvres, sous ma langue. J’aspire, embrasse le sein de ma jolie partenaire. Elle halète tandis que j’excite son téton : — Il ne faut pas… mais c’est tellement bon… Elle souffle de plus en plus vite et soudain, me repousse. Elle remet sa bretelle en place et se reboutonne. — Si je te laisses continuer, je vais perdre tout contrôle. Tu allais me rendre folle de plaisir. Nouveau long baiser. Valérie se tourne et se lève. Il est vrai qu’il est l’heure. Je prends sa main pour descendre du petit monticule et elle la garde jusqu’à la voiture. Dernier baiser avant de démarrer. Nous n’échangeons pas beaucoup sur le chemin du retour. Je la dépose devant son travail et nous nous promettons de nous revoir rapidement.