1. Toute une nuit


    Datte: 30/10/2019, Catégories: Anal Gay Mature,

    J'ai 20 ans, je fréquente la même fille depuis 3 ans déjà. Avec elle, je baise à chaque week-end. J'ai délaissé mes aventures avec les hommes. Mon oncle est décédé, Alex a disparu, Yves est lui aussi décédé depuis plus d'un an. Ma blonde vit dans le quartier Outremont, donc assez loin de chez moi.À cette époque, je vais encore à l'école le soir et le jour j'ai un travail peu payant. Alors quand je vais voir ma blonde, j'y vais donc en métro et autobus, un trajet de 45 minutes environ. Mais voilà que le transport en commun est en grève, il y avait juste le métro qui fonctionnait, mais il fallait se rendre à une bouche de métro. Cette grève durait déjà depuis 3 semaines. Il n'était pas question de faire de l'autostop avec ma blonde et un taxi était beaucoup trop onéreux. Alors je me déplaçais en faisant de l'autostop. Durant cette grève les gens étaient tout de même charitable. Parfois on était plusieurs autostoppeurs dans la même voiture.On était tard en automne, milieu novembre je crois et il commençait à faire froid. Partir tard le soir, ma blonde n'aimait pas cela et je couchais sur le divan, mais je détestais ça. Ce samedi soir-là, j'ai décidé de partir vers les 9: 00 du soir. On annonçait de la pluie et je voulais partir avant et de toute façon j'avais plus de chance pour l'autostop.Je me revois sur Côte-Sainte-Catherine le pouce en l'air. Il faisait froid et humide. Les autos n'arrêtent pas et comble de malheur, il commence à pleuvoir. La pluie s'intensifie, je suis ...
    ... mouillé jusqu'aux os. Je ne trouve pas ça très drôle. Je me dis encore un cinq minutes et si ça marche pas, je vais retourner chez ma blonde. Puis, une grosse voiture blanche arrête. J'ouvre la portière et je m'engouffre dedans. Je me foutais où le gars allait je voulais me réchauffer. Je lui demande s'il va près d'une bouche de métro, il me dit que non mais qu'il va m'y conduire.Le type devait avoir 50 ans au moins. Il était bien habillé, il cadrait bien dans sa voiture de luxe. Il sentait bon aussi, un parfum suave et surement cher. Il ne semblait pas corpulent, il avait un visage doux avec des cheveux poivre et sel bien coiffé, on aurait dit un homme d'affaires ou un acteur de cinéma. Il me dit qu'il se rendait dans une broîte de nuit en ville et par curiosité je lui demande laquelle et il me répond le Montmartre. Je savais que cette broîte était pour les gays et lesbiennes, c'était comme nouveau dans le paysage de la ville. Une broîte qui affichait ses couleurs. Je me dis « oups! Un homo!» Il me demande si je connaissais cette broîte je lui dis que non! Il me demande où que je me rendais comme ça et je lui ai raconté que j'étais chez ma blonde et je rajoute que j'en avais assez de la grève car on n'avait pas baisé depuis 1 mois. Il a rit d'un rire niais. Il eu un long silence et je me demandais si j'avais bien fait de lui projeter que j'étais hétéro. Au fond de moi-même l'idée d'une bonne baise avec un homme ne m'aurait pas déplu. Ça faisait longtemps que je n'avais pas sucé ...
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